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Boostez votre coaching de vie avec un éclairage en fleurs de Bach

Boostez votre coaching de vie avec un éclairage en fleurs de Bach

Boostez votre coaching de vie avec les fleurs de Bach

Boostez votre coaching de vie avec un éclairage en fleurs de Bach

Je suis Nathalie Giudicelli, Conseillère agréée en fleurs de Bach et Coach de vie depuis 17 ans.

Lorsque j’accompagne des personnes en coaching, il arrive qu’elles soient bloquées par leurs émotions. Dans ce cas, je leur propose un éclairage en fleurs de Bach et je leur offre un flacon personnalisé composé des fleurs adaptées à leurs émotions du moment.

Tout d’abord qui était le Docteur Edward Bach ? C’était un médecin bactériologiste qui, dans les années 1930 est parti du constat suivant : soigner deux personnes souffrant de la même maladie avec le même médicament ne donnait pas forcément le même résultat. Selon lui il fallait donc prendre en compte les émotions des personnes malades, ainsi que la perception qu’avaient ces personnes de leur maladie ; le médicament n’étant donc pas seul à mener les malades vers la guérison. Le Docteur Bach a détecté 38 fleurs dans la nature pouvant nous permettre d’harmoniser nos émotions et de trouver notre juste équilibre émotionnel. 

En tant que coach de vie ma mission est d’écouter mes clients m’exposer ce qui les empêche d’avancer en paix dans leurs 5 domaines de vie (le couple – la famille – l’engagement social – l’épanouissement personnel – le travail). Pour être actif dans leur coaching, mes clients doivent être à même de se remettre en question et de mettre en œuvre des changements (changer leurs croyances limitantes par exemple).

Vous comprendrez aisément que si les émotions de mes clients coachés sont trop présentes, ces changements vont être ralentis, voire impossibles. C’est alors qu’intervient l’éclairage en fleurs de Bach.

Lors de mes coachings, quand le besoin s’en fait sentir et que mon client est ouvert à cela, je conseille essentiellement 5 fleurs que je vais vous présenter dans cet article :

LARCH ou Mélèze :

pour les personnes qui se pensent inférieures aux autres et se positionnent en -/+. La position de vie -/+ en analyse transactionnelle (qui est mon principal cadre de référence) est une position de dévalorisation. En coaching j’utilise un test qui permet de déceler la position de vie préférentielle de mes clients. Lorsqu’une personne se dévalorise et se sent à priori inférieure aux autres, il est difficile d’avancer et de s’affirmer. Les personnes auxquelles je conseille Larch sont souvent dans l’évitement par peur de l’échec. Larch va leur permettre de reprendre confiance et de se reconnecter à leurs propres ressources ; une personne qui, par exemple, se sent mal dans son travail mais n’ose même pas regarder les annonces ou refaire son cv pourra oser franchir ce cap.

Le combo coaching / larch permet une juste évaluation de sa valeur (forces/ faiblesses) et redonne confiance en soi, force et courage pour entreprendre avec détermination.

CHESTNUT BUD ou Bourgeon de marronnier :

pour les personnes qui ont tendance à répéter des attitudes, des comportements, même si ceux-là ont déjà échoué plusieurs fois. Ces personnes évoquent ce que l’on peut nommer des « scenarios d’échec ». Elles me racontent par exemple le scenario qui les a menées à se faire licencier de la même façon à plusieurs fois. Je leur demande alors : « Comment vous débrouillez-vous pour que cela rate à chaque fois ? ». Cette question est volontairement provocatrice mais le coaching est aussi là pour faire bouger les lignes. Quand elles prennent conscience du scénario qui s’est joué, des attitudes qui ont été néfastes, des croyances non-aidantes qui les ont menées là, je leur propose Chestnut Bud.

Le combo coaching / chestnut bud permet de se mettre en action après avoir désamorcé les phénomènes de répétition et compris et intégré les expériences de vie.

CERATO ou Plumbago :

pour les personnes qui doutent car elles ne suivent pas leur intuition. Typiquement il s’agit de clients qui veulent absolument savoir ce que je pense de leur choix de formation, de leur désir de se séparer de leur conjoint etc. En tant que Coach de vie, je ne sais pas mieux qu’eux ce qui est bon pour eux. Je ne donne pas de conseil. Mon travail dans ce cas est de leur renvoyer le fait que « mon avis n’a aucune importance ». Les personnes ayant besoin de Cerato n’écoutent pas leur intuition suffisamment et demandent l’avis des autres avant de prendre des décisions. Avec mes outils de coach je vais les aider à faire émerger cette intuition. En effet certaines personnes lorsque je leur demande : « Mais vous, vous en pensez quoi ? » sont bloquées et ne répondent rien. Avec Cerato je vais les aider à suivre cette intuition. 

Le combo coaching / cerato permet de prendre confiance en son propre jugement, en son intuition, de retrouver des certitudes, et de passer à l’action.

GENTIAN ou gentiane :

pour les personnes qui ont du mal à remonter à cheval après une chute. En coaching il m’arrive d’accompagner des personnes qui se découragent facilement parce qu’elles ont, par exemple, envoyé 20 candidatures spontanées et n’ont toujours pas reçu de réponse ; ou encore parce qu’elles ont raté deux fois leur code etc…Gentian va les aider à repartir d’un bon pied et à retrouver de la motivation.

 Le combo coaching / gentian permet de redonner de la persévérance et de la confiance en la vie. Il permet de voir le côté positif en tout et de prendre conscience de nos ressources internes face aux obstacles.

WILD OAT ou folle avoine :

pour les personnes qui constituent une grande partie de ma clientèle et qui veulent être coachées car elles se sentent perdues. Elles me disent : « Je ne sais plus où j’en suis ; je sais que je suis à la croisée des chemins mais je ne sais pas quel chemin prendre ni comment effectuer ce changement ». Ces personnes ont envie de jouer un rôle sur terre, veulent un travail qui respecte leurs valeurs. Après le covid j’ai reçu une vague de personnes qui souhaitaient changer de vie en ce sens.

Le combo coaching / wild oat permet de les éclairer quant à la réalisation de leurs ambitions morales et humaines. Il permet de redonner un sens à leur vie et de trouver leur voie, leur place.

Voilà les 5 fleurs que je conseille le plus souvent à mes clients coachés lorsqu’ils acceptent un éclairage en fleurs de Bach. Le but étant de les aider à aller mieux et à redevenir acteur de leur propre vie.

Au plaisir de vous rencontrer pour des séances de coaching ou pour un entretien de conseil en fleurs de Bach.

 

Nathalie Giudicelli

Cabinet Coach Confiance

L’effet “pelures d’oignons” ou “poupées russes” : qu’est-ce-que c’est ?

L’effet “pelures d’oignons” ou “poupées russes” : qu’est-ce-que c’est ?

effet pelures d'oignons

Comprendre l’effet “pelures d’oignons” ou “poupées russes” pour aller à la rencontre de votre moi profond.

La première fois que j’ai entendu parler de « l’effet pelure d’oignon », c’était il y a 30 ans.

Ma psy venait de partir en retraite, et sa remplaçante se trouvait face à moi. Si vous avez déjà vécu ce changement de thérapeute, vous comprendrez aisément ma crainte de devoir « raconter toute mon histoire depuis le début ».

Ma nouvelle psy m’expliqua alors que, tel un oignon que l’on pèle, ma problématique avait plusieurs couches, et que plus je travaillerai sur moi et plus je m’approcherai du cœur de l’oignon. Une quête du graal en quelque sorte.

Je repris en effet le fil de ma thérapie, comme si je n’avais pas changé d’interlocutrice.

Depuis lors, l’image de l’oignon que l’on pèle me piquait un peu les yeux quand je me la représentais mentalement. Il aura fallu attendre 2020 et ma formation de Conseillère en fleurs de Bach pour découvrir que l’effet « poupée russe » était tout aussi efficace pour expliquer à mes clients coachés et à mes clients en fleurs de Bach le principe du travail sur soi.

En effet, en traitant les problématiques ou les émotions présentes ici et maintenant, en poursuivant l’accompagnement sur la durée, on se connecte pas à pas à la plus petite poupée, celle qui est au cœur de notre être.

Que ce soit avec mes clients coachés ou avec mes clients reçus lors d’entretiens de conseil en fleurs de Bach, lors du premier rendez-vous, je pose le cadre de l’accompagnement. 

C’est donc bien à la poupée extérieure, la plus imposante, que je m’adresserai en tout premier lieu.

Les états sous-jacents n’apparaitront que plus tard. C’est la raison pour laquelle, en coaching, comme avec les fleurs de Bach, je respecte le rythme de mes clients, et je traite la demande et non pas le besoin que je pourrais percevoir. Pas question d’ouvrir les poupées dans le désordre ou de les ouvrir toutes en même temps.  Mon rôle va être d’écouter mes clients, de faciliter l’expression de leurs problématiques et émotions, de les reconnecter à leurs propres ressources ici et maintenant.

Alors si l’on se rencontre dans le cadre d’un coaching de vie, coaching en reconversion professionnelle, ou entretien de conseil en fleurs de Bach, vous ferez connaissance avec votre poupée intérieure (j’ai aussi une version Panda pour celles et ceux qui préfèrent).

Coaching emploi versus Pôle emploi !

Coaching emploi versus Pôle emploi !

coaching emploi

Coaching emploi versus Pôle emploi !

Je suis Coach de vie et Coach emploi depuis 2007, et j’ai testé pour vous le coaching emploi et le Pôle emploi

 petit retour en Septembre 2015…..
Depuis 4 mois maintenant, je suis inscrite au Pôle Emploi, suite à mon licenciement économique. Depuis 6 ans, je cumule deux emplois : Responsable Formation de l’organisme de formation créé avec mon époux, et Coach de Vie en charge du Cabinet Coach Confiance que j’ai créé en 2007 et que je dirige encore aujourd’hui. Ce cumul de casquettes, je l’ai délibérément choisi. En effet, j’aime jouer de ma fibre commerciale et managériale au sein de notre organisme de formation, et j’aime être dans l’écoute empathique désintéressée avec mes clients coachés. Notre organisme de formation ayant dû fermer en mai 2015, à 52 ans, je dois m’inscrire à Pôle Emploi.

 

Depuis 2007, je suis coach de vie, et j’accompagne souvent des personnes inscrites en tant que demandeurs d’emploi au Pôle emploi.

Lorsqu’elles ont plus de 50 ans (ce qui est mon cas aujourd’hui), je leur dis parfois : « Vous avez plus de 50 ans ? Ce n’est pas un obstacle pour retrouver un emploi ! Le problème c’est votre façon de voir les choses » ; mais là, je fais moins la maline !! Dans mon esprit c’est très clair, je ne veux pas avoir de patron. J’ai tout fait depuis 1996 pour être indépendante, et là je me retrouve sous la coupe de Pôle Emploi !

Lors de mon premier rendez-vous avec la cellule spéciale destinée aux licenciés économiques (CSP), la conseillère me semble triste et je ne décèle aucune empathie chez elle. Tout juste un sourire de circonstance. Elle étudie mon cv, et cherche absolument à m’attribuer un code métier. Après une recherche hésitante, elle propose de m’attribuer le code des Assistantes Commerciales. Waouh, je tombe de ma chaise : j’ai un Master 2 en Gestion, je suis dirigeante depuis 20 ans, et elle me propose un poste d’assistante commerciale ! Je commence alors à réaliser la galère qui m’attend : je suis une indépendantiste au caractère bien trempé et j’ai besoin de cet argent qui va m’arriver chaque fin de mois. Au secours… où est la porte de sortie ?

3 ans passent et nous voilà en septembre 2019 ……….

Bilan de ces 3 ans : il est en demi-teinte ! Pendant un an j’ai été suivie mensuellement dans le cadre d’un CSP (Contrat de Sécuristation Professionnelle). Chaque rendez-vous était l’occasion de tirer un bilan de mon activité professionnelle, de bénéficier d’un regard extérieur (celui de ma conseillère) que l’on n’a pas forcément lorsqu’on travaille seul. La règle ayant été posée au départ : tant que vous générerez un Chiffre d’Affaires avec votre activité de coach, on n’exigera pas de vous une recherche d’emploi salarié. Ce deal m’a parfaitement convenu, et n’a jamais été remis en cause. Au cours de ces trois années, le Pôle emploi m’a également financé deux formations : une qui me permet aujourd’hui de réaliser des bilans de compétences, une autre qui me permet d’être autonome pour toute ma communication digitale (réseaux sociaux, site internet, emailing…). Ces trois années d’indemnisation m’ont également permis de développer mon chiffre d’affaires.

Par ailleurs, en passant de l’autre côté de la barrière (celui des demandeurs d’emploi), j’ai touché du doigt les émotions ressenties par mes clients lorsqu’ils sont convoqués par leur conseiller.

“Convocation” : ce mot qui fait froid dans le dos ! Pourquoi ne pas le remplacer par «invitation” ou «prise de rendez-vous» ?

J’ai également appris à rester calme quand, le 20 du mois arrivant, j’attendais toujours mon allocation du mois précédent. Pas simple…..

J’ai mieux compris mes clients angoissés par la surveillance et le suivi de leurs recherches d’emploi par Pôle Emploi.

J’ai aussi validé une hypothèse qui me trottait dans la tête depuis longtemps, selon laquelle un accompagnement basé sur le flicage ne pouvait pas déboucher sur un état d’esprit positif pour le demandeur d’emploi. Cet état d’esprit positif étant indispensable pour se repositionner sur le marché du travail !

Chercher un emploi est un métier à part entière selon moi.

Cela nécessite un apprentissage et un suivi bienveillant, sans pression menaçante. A ce titre, je doute de l’efficacité des méthodes de Pôle Emploi (entretiens de groupe sans différence de niveau, suivi individuel quasi inexistant, préconisation de métiers inadaptés aux personnes à l’issue de bilans de compétence formatés et impersonnels….).

J’ai plusieurs fois demandé à ma conseillère pourquoi elle ne donnait pas mes coordonnées à ses … à ses quoi d’ailleurs ? On est quoi pour un conseiller Pôle Emploi ? Je ne trouve pas de mot approprié si ce n’est « allocataire ». Ce mot dit tout de la relation qui se noue entre la personne en devenir professionnel, et le Pôle Emploi. Quand je compare avec la relation créée en quelques séances de coaching avec mes clients, je me dis que la solution est là, dans la relation créée. Bref, ma conseillère est tombée de sa chaise quand je lui ai dit qu’en 6 à 8 séances mes clients signaient un CDI, et que je lui ai demandé de transmettre mes coordonnées à ses « allocataires ». « Je ne peux pas faire ça ! » m’a-t-elle répondu offusquée. Trois ans ont passés, et je ne comprends toujours pas pourquoi. Elle aurait donné du travail à l’une de ses «allocataires» (moi en l’occurrence), et permis à certains “allocataires” de retrouver un emploi et donc de sortir des statistiques du chômage ! N’est-ce pas là la mission première du Pôle emploi ?

 

 Alors, Coaching emploi ou Pôle emploi ? Les deux sont complémentaires, et mes clients en devenir professionnel l’ont bien compris, et se repositionnent aisément sur le marché du travail.

Le coaching du Bore-out syndrom

Le coaching du Bore-out syndrom

bore out syndrom

Comment le coaching de vie peut-il vous aider à sortir du bore-out syndrom ?

A bien y réfléchir le bore-out syndrom, je l’ai connu pendant quelques mois. 

C’était mon dernier emploi de salariée. Cela se passe dans les années 1990, et voilà comment se déroulent mes journées :

« Le matin j’arrive un peu en retard… toujours ça de gagné sur la journée de 8 heures qui s’annonce. Le manque de sommeil me fait me garer n’importe où (pas la force de marcher longtemps). Je vais encore collectionner les PV. Le passage en revue des collègues pour leur dire « bonjour » dure le plus longtemps possible. Puis le premier café marque une pause d’au moins 15 minutes dans ma journée, toujours ça de gagné !

Rien à faire du tout….

Bureau hyper bien rangé avec aucun dossier en suspens. Je quémande des petits boulots auprès des secrétaires qui, un peu gênées de donner ce type de tâche à un cadre, finissent par me donner quelque chose à faire.

Midi sonne! Oui, enfin, le milieu de la journée est arrivé. Pourquoi je reste dans ce job ? Très bon salaire, excellent même. Oui, mais je n’ai rien à faire de mes journées. Je suis épuisée d’écouter le temps s’écouler. Déjeuner d’une heure, et reprise. Bon sang, 18h00 c’est encore loin. Pas d’internet pour passer le temps, internet n’existe pas encore en entreprise. 15H00 …. 16H00, chouette, c’est l’heure du petit goûter. Ma fille doit prendre le sien chez sa nounou à cette heure-ci. Sa nounou a de la chance. Comme j’aimerais aller chercher ma fille à l’école….

17H00 : le bout du tunnel est proche. Je reprends un café (après je m’étonne de ne pas dormir), 15 minutes de gagnées. Je papote avec les uns, les autres, je perturbe le rythme de travail ambiant. Je m’en fous, j’ai besoin de parler. Plus que 2 minutes avant 18h00.. Je commence à me préparer tout doucement. 18H00 : délivrance absolue, je pars chercher ma fille chérie chez sa nounou. Ma vraie vie commence….. Combien de temps vais-je tenir ainsi ? »

Le bore-out syndrom toucherait 30% des travailleurs.

Il s’agit d’un épuisement de l’individu dû à un ennui profond ressenti au travail. Les situations pouvant y mener sont diverses : « placardisation », baisse d’activité, inadéquation entre le niveau de qualification et les compétences requises pour le poste.

Le coaching peut-il aider les personnes souffrant du bore-out syndrom ? 

Tout comme pour le burnout, cela dépend du stade de bore-out auquel se trouve le client. Si il vit cette situation péniblement, et n’en n’est pas encore au stade de la dépression, oui le coaching peut se révéler une méthode d’accompagnement efficace. D’autant plus efficace qu’on y adjoindra un conseil en fleurs de Bach pour réguler les émotions présentes. Dans le cas contraire, le recours à un médecin généraliste et à un psychologue s’avérera nécessaire.

Mémoire : “Le coaching de vie et le burnout”

Mémoire : “Le coaching de vie et le burnout”

Mémoire : “Le coaching de vie pour diagnostiquer, prévenir, et traiter le burnout”

coaching burnout

Le burnout syndrom élimine les personnes les plus engagées au sein d’une entreprise.

Lors de ma formation de coach professionnel et personnel  lorsque j’ai entendu le terme de Burnout, j’ai tendu l’oreille. J’ai choisi d’en faire le thème de mon mémoire et de mettre la souffrance au travail au cœur de mon travail d’accompagnement de particuliers et d’entreprises. Ce mémoire est offert à tous mes clients sur simple demande. En aérospatiale, le moment où une fusée, après avoir trop rapidement brûlé tout son carburant, retombe au sol, est appelé burnout. C’est ce phénomène qui a donné son nom au syndrome d’épuisement émotionnel au travail.

Le syndrome d’épuisement émotionnel touche les personnes qui ont tout donné au départ, en croyant leurs capacités illimitées (illusion de supériorité).

Face aux blocages, aux échecs, aux « grains de sable » (comme le manque de signes de reconnaissances positifs à leur égard par exemple), elles n’ont pas su gérer la frustration de ne pas être à la hauteur de leur idéal.

Le burnout touche les passionnés qui se fixent des buts très ambitieux, et s’engagent beaucoup dans leur entreprise, leurs projets, leurs équipes. Il est particulièrement répandu dans les métiers qui nécessitent d’avoir une flamme intérieure et dans lesquels la réussite de l’action dépend des capacités relationnelles (médecins libéraux, personnel soignant, travailleurs sociaux, enseignants, animateurs, agents commerciaux, avocats commis d’office, thérapeutes, personnel pénitentiaire, travailleurs sociaux..).

Il frappe surtout les personnes les plus dynamiques, reconnues comme compétentes, et les plus dévouées. Il est multiforme, peut mettre plusieurs années à se manifester, et il est très dévastateur (le terme burnout signifie « brûlure intérieure »)

Il est quasi exclusivement d’origine professionnelle bien que l’on évoque de plus en plus le burnout maternel.

Comment détecter le burnout ?

Tout d’abord grâce à un test (le MBI) que vous pouvez effectuer sur ce site. 

Les symptômes psychologiques observables du burnout sont les suivants :
  • Des changements d’attitudes et de comportements. Ainsi, l’idéalisme des personnes sujettes au burnout s’exprimera par des comportements positifs dans un premier temps (engagement très fort dans leur mission). Puis, quand l’idéalisme fera place au cynisme, la résistance à la frustration et à l’échec va aller en diminuant, et les personnes deviendront irritables, agressives, et développeront une sensibilité exacerbée. C’est pourquoi, à titre de prévention, certaines attitudes doivent être canalisées (car elles représentent des facteurs de risque). Il s’agit d’implication excessive, d’idéalisme, de perfectionnisme, de refus de l’échec.
  • La baisse d’intensité dans les émotions ressenties (qu’elles soient positives ou négatives)
  • La dévalorisation de soi
  • Une remise en question de sa vie en général
  • Un rapport à l’environnement très froid 
  • Quel est le lien entre harcèlement moral et burnout syndrom ?

    Dans les deux cas, sont en cause des facteurs liés à l'environnement, et des facteurs liés à la personne touchée. Dans le cas du harcèlement, il y a une personne dite "pervers narcissique" qui en détruit une autre. Dans le cas du burnout, c'est plus un système qui est en cause. Du côté de la victime, dans les deux cas, il s'agit d'une personne compétente, qui s'investit beaucoup, et ne sait pas dire STOP ou NON .

  • Quels sont les signes avant-coureurs d'un burnout ?

    Les signes avant-coureurs à observer sont :

    • Des palpitations
    • Des mains moites
    • Des suées
    • Une consommation accrue de tabac, alcool, tranquillisants
    • Une émotivité exacerbée
    • Ces signes mènent à une fatigue chronique, à un stress pathologique.
    • Les conséquences médicales du burnout, une fois ce stade de stress intense atteint, peuvent être les suivantes :
    • état de fatigue anormale et persistante, irrécupérable même le week-end
    • céphalées chroniques
    • difficultés de concentration et troubles éventuels de la mémoire
    • troubles du sommeil
    • troubles musculo-squelettiques
    • troubles gastro-intestinaux
    • augmentation des concentrations sanguines en cholestérol, triglycérides ou acide urique.
    • inflammations conduisant à l’athérosclérose et au diabète de type 2
    • problèmes cardio-vasculaires

Comment se fixer un objectif SMARTE ?

Comment se fixer un objectif SMARTE ?

OBJECTIF smarte

Comment se fixer un objectif SMARTE 

Au démarrage d’une tâche, il est primordial de se fixer un objectif SMARTE et global !

Cet objectif SMARTE et global est rarement sous le contrôle absolu de la personne qui se le fixe. Le but global donne l’élan et la dynamique d’ensemble.
Il est également important de se fixer un objectif de performance qui permettra de mesurer les progrès accomplis, et sera en grande partie sous le contrôle de la personne (ex : obtenir que 80% de mes élèves aient au moins la moyenne dans ma matière). L’objectif de performance permet de déterminer des normes de travail, et de s’y tenir. Si l’objectif est fixé par un dirigeant ou manager, il doit en outre, être explicite, compris, pertinent, éthique, motivant, légal, écologique.

  • Quel est le lien entre harcèlement moral et burnout syndrom ?

    Dans les deux cas, sont en cause des facteurs liés à l'environnement, et des facteurs liés à la personne touchée. Dans le cas du harcèlement, il y a une personne dite "pervers narcissique" qui en détruit une autre. Dans le cas du burnout, c'est plus un système qui est en cause. Du côté de la victime, dans les deux cas, il s'agit d'une personne compétente, qui s'investit beaucoup, et ne sait pas dire STOP ou NON .

  • Quels sont les signes avant-coureurs d'un burnout ?

    Les signes avant-coureurs à observer sont :

    • Des palpitations
    • Des mains moites
    • Des suées
    • Une consommation accrue de tabac, alcool, tranquillisants
    • Une émotivité exacerbée
    • Ces signes mènent à une fatigue chronique, à un stress pathologique.
    • Les conséquences médicales du burnout, une fois ce stade de stress intense atteint, peuvent être les suivantes :
    • état de fatigue anormale et persistante, irrécupérable même le week-end
    • céphalées chroniques
    • difficultés de concentration et troubles éventuels de la mémoire
    • troubles du sommeil
    • troubles musculo-squelettiques
    • troubles gastro-intestinaux
    • augmentation des concentrations sanguines en cholestérol, triglycérides ou acide urique.
    • inflammations conduisant à l’athérosclérose et au diabète de type 2
    • problèmes cardio-vasculaires

  • Qu'est-ce qu'un objectif SMARTE ?

    C'est un objectif :

    • Spécifique : Les objectifs vagues ont une fâcheuse tendance à ne jamais être atteints
      Ex : Je veux améliorer ma confiance en moi
      Les questions à se poser pour le rendre spécifique : dans quel domaine ? Pour faire quo i?
      Ex : Je veux gagner plus d'argent
      Les questions à se poser pour le rendre spécifique : combien exactement ?
    • Mesurable : Il est important de pouvoir identifier les éléments qui permettront de déterminer dans quelle mesure nous avançons vers cet objectif, de constater qu'il est atteint.
      Questions pour le rendre mesurable : quels sont les dix critères qui vous permettront de réaliser que votre objectif est atteint ? Où en êtes vous aujourd’hui (notez vous sur 10) pour chacun de ces critères ?
    • Atteignable : A se fixer des objectifs inatteignables, on court à la déception, au découragement.
      Questions pour vérifier qu’il est atteignable : Vous sentez-vous aujourd’hui capable d’atteindre cet objectif ? A combien mesurez-vous vos chances de réussite. Si la réponse est inférieure à 5/10 : Qu’est-ce qui vous freine ? Vous sentez-vous en mesure de mettre en place les changements et les apprentissages nécessaires à l’atteinte de cet objectif ?

    • Réaliste : Cette notion est très fluctuante selon les personnes. Tout dépend de vos limites. Une personne sans jambe qui se lance dans la course à pied à haut niveau grâce à des prothèses s’est fixé un objectif réaliste. Cela n’est pas donné à tout le monde.
      A chacun de déterminer le degré d'ambition qui lui convient, et la limite au-delà de laquelle l'objectif devient une épreuve insurmontable plus génératrice de stress et de procrastination que de motivation.

    • Temporellement déterminé : Un objectif qui n’est pas inscrit dans le temps est un objectif voué à l’échec (ex : « on s’appelle ! », « passez boire un verre à l’occasion »)
      Fixer une date est beaucoup plus efficace. Le délai de réalisation d’un objectif doit être bien évalué : assez long pour éviter une pression inutile et suffisamment court pour qu'il ne soit pas dilué dans le temps.

    • Ecologique : Cohérent avec votre environnement familial et économique.

Les objectifs doivent être formulés positivement : « Je voudrais ne plus jamais être en retard dans l’avancement de mon travail », devient : « Je veux rendre mon travail en temps et en heure toutes les semaines »

Pour sécuriser un objectif, il faudra identifier les apprentissages et « désapprentissages » nécessaires à son atteinte.

Il faudra également cerner les attitudes qui le favoriseront, et celles qui lui seront défavorables.

Un travail sur les émotions sera également nécessaire afin de repérer celles qui seront porteuses pour l ‘atteinte de l’objectif, et celles qui lui seront néfastes.

Nota : La PNL (Programmation Neuro Linguistique) définie ainsi les critères d’un objectif bien structuré : Il doit être formulé positivement, vérifiable et observable, spécifique et contextualisé, du ressort du client, écologique, réaliste et réalisable, motivant.

Pourquoi se fixer des objectifs ?

Tout simplement pour ne pas rester au stade du rêve, et pour les transformer en réalité en passant à l’action.

Pourquoi se fixer des objectifs SMARTE ? Pour assurer leur réalisation et dépasser les blocages éventuels (pour sortir de l’impasse, de la procrastination, de l’incapacité décisionnelle)
 

Exemples d’objectifs SMARTE :

Suivre une formation en développement personnel par an
Lire au moins un livre de développement personnel par mois
Enregistrer mes frais personnels une fois par semaine
Augmenter mon CA de 10% tous les ans
Sélectionner un organisme de formation pour me recycler d’ici la fin du mois
Pratiquer le Qi Qong au moins deux heures par semaine
Attendre maximum 6 heures, après un échange contrariant pour moi, pour m’en ouvrir de manière affirmée à la personne concernée

 

Ma conclusion sur les objectifs SMARTE :

Il n’y a pas de périodes plus propices que d’autres à la fixation d’un ou de plusieurs objectifs (comme la nouvelle année par exemple). Chaque journée peut faire l’objet d’un objectif SMARTE.

En revanche, il est bon de se laisser porter par moments à ne pas tout planifier ou mesurer. Je ne suis pas personnellement une coach obsédée par les objectifs. Il arrive très souvent qu’ils s’imposent à mes clients, tout doucement, sans même y avoir consacré la moindre séance. Le passage à l’action se fait, et les objectifs se réalisent, en douceur. En revanche, avec certains clients, le fait de poser clairement des objectifs, en utilisant un cadre, une méthodologie appropriée, les aide à avancer, les rassure. En tant que coach je me dois toujours de leur rappeler que je ne vais pas leur fournir le contenu de leurs objectifs, mais uniquement les accompagner pour rendre ces objectifs SMARTE.

La prière scoute et le développement personnel

La prière scoute et le développement personnel

priere scoute

La prière scoute et le développement personnel.

Un peu d’histoire : La prière scoute est attribuée à Saint Ignace de Loyola, fondateur de l’ordre jésuite, auquel appartenait le Père Sévin qui, en 1917, mit les paroles en musique pour les scoutes de France.

  • Quel est le lien entre harcèlement moral et burnout syndrom ?

    Dans les deux cas, sont en cause des facteurs liés à l'environnement, et des facteurs liés à la personne touchée. Dans le cas du harcèlement, il y a une personne dite "pervers narcissique" qui en détruit une autre. Dans le cas du burnout, c'est plus un système qui est en cause. Du côté de la victime, dans les deux cas, il s'agit d'une personne compétente, qui s'investit beaucoup, et ne sait pas dire STOP ou NON .

  • Quels sont les signes avant-coureurs d'un burnout ?

    Les signes avant-coureurs à observer sont :

    • Des palpitations
    • Des mains moites
    • Des suées
    • Une consommation accrue de tabac, alcool, tranquillisants
    • Une émotivité exacerbée
    • Ces signes mènent à une fatigue chronique, à un stress pathologique.
    • Les conséquences médicales du burnout, une fois ce stade de stress intense atteint, peuvent être les suivantes :
    • état de fatigue anormale et persistante, irrécupérable même le week-end
    • céphalées chroniques
    • difficultés de concentration et troubles éventuels de la mémoire
    • troubles du sommeil
    • troubles musculo-squelettiques
    • troubles gastro-intestinaux
    • augmentation des concentrations sanguines en cholestérol, triglycérides ou acide urique.
    • inflammations conduisant à l’athérosclérose et au diabète de type 2
    • problèmes cardio-vasculaires

  • Qu'est-ce qu'un objectif SMARTE ?

    C'est un objectif :

    • Spécifique : Les objectifs vagues ont une fâcheuse tendance à ne jamais être atteints
      Ex : Je veux améliorer ma confiance en moi
      Les questions à se poser pour le rendre spécifique : dans quel domaine ? Pour faire quo i?
      Ex : Je veux gagner plus d'argent
      Les questions à se poser pour le rendre spécifique : combien exactement ?
    • Mesurable : Il est important de pouvoir identifier les éléments qui permettront de déterminer dans quelle mesure nous avançons vers cet objectif, de constater qu'il est atteint.
      Questions pour le rendre mesurable : quels sont les dix critères qui vous permettront de réaliser que votre objectif est atteint ? Où en êtes vous aujourd’hui (notez vous sur 10) pour chacun de ces critères ?
    • Atteignable : A se fixer des objectifs inatteignables, on court à la déception, au découragement.
      Questions pour vérifier qu’il est atteignable : Vous sentez-vous aujourd’hui capable d’atteindre cet objectif ? A combien mesurez-vous vos chances de réussite. Si la réponse est inférieure à 5/10 : Qu’est-ce qui vous freine ? Vous sentez-vous en mesure de mettre en place les changements et les apprentissages nécessaires à l’atteinte de cet objectif ?

    • Réaliste : Cette notion est très fluctuante selon les personnes. Tout dépend de vos limites. Une personne sans jambe qui se lance dans la course à pied à haut niveau grâce à des prothèses s’est fixé un objectif réaliste. Cela n’est pas donné à tout le monde.
      A chacun de déterminer le degré d'ambition qui lui convient, et la limite au-delà de laquelle l'objectif devient une épreuve insurmontable plus génératrice de stress et de procrastination que de motivation.

    • Temporellement déterminé : Un objectif qui n’est pas inscrit dans le temps est un objectif voué à l’échec (ex : « on s’appelle ! », « passez boire un verre à l’occasion »)
      Fixer une date est beaucoup plus efficace. Le délai de réalisation d’un objectif doit être bien évalué : assez long pour éviter une pression inutile et suffisamment court pour qu'il ne soit pas dilué dans le temps.

    • Ecologique : Cohérent avec votre environnement familial et économique.

  • Comment est née la prière scoute ?

    Jacques Sévin est né en 1882 à Lille. Après des études supérieures d’anglais il entre au noviciat des jésuites le 15 décembre 1900. Il se rend en Angleterre en 1913 pour connaître le scoutisme de Baden Powell, où il participe à un rallye de 3000 scouts. Convaincu que ce mouvement est une véritable force naissante il forme le projet de le lancer en France. Il est ordonné prêtre en 1914.

    La prière scoute est la prière des mouvements scouts catholiques. Les Scouts, lorsqu'ils la chantent se tiennent les bras le long du corps, en hommage à St Ignace de Loyola, paralysé à la fin de ses jours.

    En 2016, la France comptait 170000 scouts répartis en 10 grands mouvements.

  • Qu'est-ce que le développement personnel ?

    Le Développement Personnel renvoie à toutes les activités proposant de développer une connaissance de soi, de valoriser ses talents et potentiels, de travailler à une meilleure qualité de vie, et de réaliser ses aspirations et ses rêves. Le coaching en fait partie.

Il y a quelques années,  l’une de mes clientes coachée me fit découvrir la prière scoute, en m’expliquant qu’elle avait bercée son enfance.

Afin d’y repérer quelques messages contraignants éventuels, ou quelques croyances non-aidantes pour ma cliente, je décidai d’étudier cette prière de plus près. Rapidement, j’en arrivai à la conclusion suivante : à mon sens, cette prière constitue une véritable mine anti-développement personnel.

Extrait : « Seigneur Jésus, Apprenez-nous à être généreux…… » « A nous dépenser, sans attendre d’autre récompense que celle de savoir que nous faisons Votre Sainte Volonté »

Qu’est-ce que la générosité ? Voltaire, dans son dictionnaire philosophique (1838) la définissait ainsi : « La générosité est un dévouement aux intérêts des autres, qui porte à leur sacrifier ses avantages personnels. En général, au moment où l’on relâche ses droits en faveur de quelqu’un, et qu’on lui donne plus qu’il ne peut exiger, on devient généreux » Le mot « générosité » vient du latin « generositas » qui signifie « bonté de la race ». Il décrit une disposition à donner plus que ce que l’on est tenu de donner, et à recevoir moins que ce que l’on pourrait réclamer.

Compte tenu de ces définitions, je persiste à demander à mes clients de ne pas être généreux. Je les invite à demander ce à quoi ils estiment avoir droit (un retour positif pour un travail bien fait par exemple).

Nous avons tous besoin de signes de reconnaissance positifs, et les réclamer haut et fort lorsqu’ils ne viennent pas est une attitude salvatrice.

 En réponse à la Prière Scoute, ma première recommandation est : « En vérité, je vous le dis, soyez égoïstes ! »

 

Extrait : «Apprenez-nous à Vous servir comme Vous le méritez » « A donner sans compter » « A travailler sans chercher le repos »

Les personnalités de type travaillomane ou persévérante se reconnaîtront probablement ! Travailler sans relâche, ne pas écouter son corps qui crie fatigue, surtout, ne pas se reposer (« une sieste ? Quelle horreur ? »)

Lorsque j’ai rédigé mon mémoire sur le Burnout Syndrom, j’ai pointé les risques d’un travail sans relâche, dans l’attente toujours insatisfaite de signes de reconnaissance positifs.

« Travailler sans chercher le repos » est une injonction dangereuse dans le contexte socio-économique actuel. On demande toujours plus à l’être humain, et, souvent, on oublie la vertu du repos.  La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dont l’article 24 nous dit que « toute personne a droit au repos et aux loisirs ». Qu’en pensez-vous ?

En réponse à la Prière Scoute, ma seconde recommandation est : «Gardez du temps pour vous, écoutez ce que vous dit votre corps, pratiquez l’art de ne rien faire ! »

Notre éducation nous a formatés, en nous faisant voir le monde sous un certain angle, en nous donnant un certain cadre de référence. Au cours de notre vie, nous avons l’occasion de remettre en cause ce cadre de référence, d’observer s’il est toujours en phase avec le monde dans lequel nous vivons. Encore faut-il en avoir le courage.

En donnant priorité à nos besoins, à nos envies, en respectant nos valeurs, en écoutant notre instinct, nous faisons ce qui est bon pour nous, et pour notre entourage.

Donnez-vous des permissions, levez certains interdits, posez des protections, le coaching peut vous y aider !
Avez-vous peur de votre hiérarchie ?

Avez-vous peur de votre hiérarchie ?

Avez-vous peur de votre hiérarchie ?

peur hiérarchie

La peur de la hiérarchie est-elle identique à la “peur du gendarme” ?
Lorsque l’on voit un gendarme sur le bord de la route on se dit parfois : « qu’est-ce que j’ai bien pu faire de mal ?». De même, certaines personnes, quand elles voient leur chef entrer dans leur bureau, ont la peur au ventre.

J’ai tendance à croire que c’est le contexte sociétal et éducationnel qui nous formate pour que nous ayons peur du chef et de la hiérarchie.

En effet, dès la petite enfance, au sein de certaines famille, on affirme que le professeur a toujours raison, qu’il ne faut jamais remettre en cause ce que disent nos parents etc…

Bref, on nous apprend l’art de devenir des paillassons !

En grandissant, à des degrés plus ou moins importants selon les individus, on devient soit hérisson (je me mets en boule et je pique si on m’approche) soit paillasson (je n’aime pas du tout ce que l’on me dit, mais je garde tout pour moi).

Il est pourtant possible de dire calmement ce que l’on ressent, en étant affirmé.

Pour commencer, on peut s’entraîner dans des situations de la vie courante sans enjeux importants.

Prenons l’exemple du restaurant : vous avez demandé un steack saignant, et on vous amène une semelle. Allez-vous avoir peur de le dire ? Si vous osez le faire remarquer, saurez-vous le faire calmement, et sans agresser le serveur ? Si vous y parvenez, c’est que vous êtes affirmé.

Vous pouvez alors commencer à pratiquer cette assertivité auprès de votre chef. Peu à peu, vous aurez moins peur de lui, et lui vous verra comme un apporteur de solutions et pas comme une personne ressassant sans cesse des problèmes.

Le mot “assertivité” (ou encore affirmation de soi) vient du mot anglais “assertiveness”.

L’assertivité est définie comme une attitude dans laquelle on est capable de respecter l’autre même s’il est différent de nous, même s’il n’a pas le même cadre de référence. Elle consiste à s’exprimer de manière non violente, directement , mais avec bienveillance (exemple : au lieu de dire « Tu m’as fait peur en disant cela » on dira « Quand tu as dit cela, j’ai ressenti de la peur »). En communiquant ainsi, on ne fait pas monter la pression, et le message peut passer ; la personne en face ne se braque pas et entend votre message.

Attention, nous ne parlons pas ici de situation de harcèlement moral de la part de chefs pervers narcissiques. Dans ces circonstances, la peur du chef peut être un bon signal à entendre : face à responsable hiérarchique harceleur, il faut parfois savoir partir avant qu’il ne soit trop tard.

En résumé, malgré les nombreux messages contraignants que l’on nous a pu vous inculquer depuis votre enfance, je fais de la résistance, et j’invite mes clients coachés à développer leur assertivité dans toutes les situations de la vie, particulièrement dans toutes les situations d’entretiens professionnels et notamment dans le management (domaine où elle est trop souvent ignorée). La peur du chef (ou du futur employeur) ne peut en être que diminuée (plus on pratique l’assertivité, moins on a peur). Sans oublier le fait qu’ainsi, votre chef vous verra comme un partenaire positif, et non plus comme l’éternel râleur de service ; car, soyez-en certains, lui aussi peut avoir peur de vous !

Nota : Le contexte économique difficile peut également nous freiner dans notre assertivité : et si je lui dis ce que je ressens, mon chef ne va-t-il pas me licencier ou me muter ? A chacun d’évaluer sa prise de risque dans ce domaine.

Pensée magique et coaching : la baguette magique du coach !

Pensée magique et coaching : la baguette magique du coach !

Pensée magique et coaching : à quoi me sert ma baguette magique ?

PENSEE MAGIQUE

Je l’utilise parfois lorsqu’un client coaché vient me voir pour me parler de ses peurs .

Exemple de peur : ” j’ai très peur de devoir intervenir lors d’un symposium organisé pour tous les commerciaux de mon entreprise en janvier prochain”.

Je l’invite en premier lieu à dérouler le scénario de sa peur jusqu’au bout, et à le rendre spécifique. 

Je lui demande alors : “De quoi avez-vous peur exactement dans cette situation?”

Il me répond : ” J’ai peur d’avoir du mal à respirer ? ” ” Et si cela se produit, que se passera-t-il ? ” ” Je vais avoir du mal à lire mon intervention en respectant le timing “. ” Et si cela arrive, que se produira-t-il alors ? ” etc…

Je lui demande enfin : “Dans cette situation, qu’est-ce qui pourrait vous arriver de pire ?”. La personne me décrit alors son « scénario catastrophe », et je l’invite à chaque étape :

  • à trouver des solutions (et si vous suiviez une formation spécifique de prise de parole en public)
  • à voir la situation sous un autre angle (recadrage : et si les personnes de l’auditoire avaient aussi peur que vous ?)
  • à mesurer les ressources dont elle dispose face à cette situation anxiogène (la dernière fois que vous avez dû parler en public comment vous en êtes vous sorti)

Quand ces méthodes ne fonctionnent pas (certains clients restent mutiques face à ces questions), j’utilise ma très jolie baguette magique rouge et pailletée.

Je leur remets entre les mains, et leur demande « Et si vous aviez une baguette magique, comment se passerait votre intervention? ».

Passé le premier moment de surprise pendant lequel ils se demandent si je possède toutes mes facultés intellectuelles, ils décident de jouer le jeu (à ce jour personne ne m’a rendu ma baguette !).

Ils font « comme si » et des étoiles brillent dans leurs yeux.

 

Ils s’accrochent à la baguette, et je remarque souvent une crispation de leur main sur cet objet aux vertus imaginaires. Ils parviennent alors à se visualiser pendant l’action qui leur faisait tant peur.

Je poursuis alors l’exercice en y ajoutant une visualisation : Comment êtes vous habillé ce jour là, comment est votre respiration, quelles odeurs sentez-vous, quels bruits entendez vous ?, De quelle couleur est la scène que vous me décrivez ? »

A la fin de l’exercice, je demande au client d’ancrer cet état interne de sérénité qu’il vient de me décrire en se remémorant l’un des éléments de la scène (ex : la couleur). Cet ancrage lui permettra de se remettre dans un état de sérénité lors de son intervention en public ou dans toute situation identique.

Comment traiter les croyances en coaching ?

Comment traiter les croyances en coaching ?

croyances limitantes

Comment traiter les croyances en coaching ?

Nos croyances sont constituées de toutes les idées qui sont les nôtres et que nous croyons, en toute bonne foi, être la vérité.

Elles sont des schémas inconscients de notre pensée.

Exemple : « Voyager : c’est dangereux » est une croyance limitante qui va nous entretenir dans notre peur d’aller voir du pays.
Il existe des croyances limitantes (qui sont des peurs bien souvent), et il existe également des croyances ressources (Par exemple : “Où que je me déplace, j’aurai les capacités en moi pour m’adapter”). Certaines croyances sont neutres, et nous ne nous y attarderons pas en coaching.

Comme nous venons de le voir, les peurs constituent une forme de nos croyances. Face à une situation évaluée comme dangereuse, on peut croire que l’on n’a pas les ressources nécessaires pour en venir à bout.

Nos croyances guident nos comportements. D’où l’intérêt de travailler sur les croyances limitantes et sur les croyances ressources avec des personnes vivant dans la peur et pratiquant l’évitement.

Citons l’exemple d’une de mes lientes coachées :
Elle vient de quitter son concubin qui la maltraitait. et vient me voir après s’être enfuie avec ses trois enfants (dont deux issus d’un premier mariage). Elle a eu ce courage incroyable de partir en laissant tout derrière elle. Elle a eu cette force. Pourtant, quand je lui demande pourquoi elle habite chez son père depuis cette séparation, elle me répond : « j’ai peur d’aller acheter des meubles pour mon futur domicile». Incroyable ! Ma réaction est d’en rire franchement pour lui montrer la dérision de cette peur au regard de tout ce qu’elle vient d’accomplir. Et mon rire l’a réveillée de ses peurs m’a-t-elle avoué plus tard. Son ex conjoint l’avait tellement convaincue du fait qu’elle n’était « bonne à rien », qu’elle y croyait. Quelques séances plus tard, cette cliente a emménagé dans son appartement, qu’elle a remeublé seule ; elle a trouvé un premier emploi (à 40 ans, même pour la diplômée de Sciences Po qu’elle était, cela n’était pas gagné d’avance) de Directrice commerciale, au sein d’une société dont elle est devenue actionnaire. Elle n’a plus peur !

Autre exemple : Une cliente vient me consulter car cela fait 20 ans qu’elle travaille dans le même service, au même poste, et qu’elle n’y est pas heureuse. Sa croyance limitante a été mise à jour au bout d’une heure d’entretien : “Si c’est agréable, ça ne peut pas être du travail”. Autrement dit, c’est impossible d’être épanoui au travail, c’est même inenvisageable selon elle. En revanche, son corps la lâche, il est épuisé, elle pleure beaucoup au travail. Un travail sur cette croyance va permettre de l’autoriser à être heureuse au travail, et donc à chercher une nouvelle orientation professionnelle.

 

En coaching, comment gérer une croyance limitante :

1° Identifier la croyance (qu’est-ce qui vous fait dire ça ? Qui a dit ça ?)

2° Travailler sur la prise de conscience de l’aspect limitant de cette croyance (En quoi est-ce un problème pour vous d’avoir ce genre de pensée ?)

3° Quelle croyance voudriez-vous mettre à la place ? (ex : au lieu de « je me mets en danger si je voyage hors de mon pays » je choisis de croire « je suis tout à fait capable de m’adapter hors de mon pays »), et qu’est-ce qui vous empêche d’y parvenir ? Qu’avez-vous à perdre si vous réussissez à changer cette croyance ?

Le travail sur les croyances est très vaste, et différent selon les clients. Certains auront des croyances concernant la cause (« si j’ai peur c’est que je viens d’une famille d’angoissés »), d’autres concernant le sens (« je crois que je suis peureuse puisque je n’arrive même pas sauter à l’élastique »), d’autres enfin concernant l’identité (« je suis une ratée, je ne mérite pas de réussir, je suis vouée à l’échec »). Ce dernier type de croyance est le plus difficile à combattre car il est souvent inconscient et son effet est essentiel.

Brèves de coaching !

Brèves de coaching !

breves de coaching

Brèves de coaching : Tribulations d’une coach de vie !

Au fil de mes pages professionnelles Facebook, j’ai rédigé, depuis 2013, des billets d’humeur. Je vous les partage dans cet article, et, si ils vous plaisent, n’hésitez pas à vous abonner à mes pages FB :

. celle dédiée au Coaching de vie et Coaching emploi

. celle dédiée aux fleurs de Bach.

 

28 avril 2022 : Danse de la joie !
 🤩 Après un parcours de formation démarré en novembre 2020 je viens d’obtenir mon agrément au niveau international et je suis donc Conseillère agréée en fleurs de Bach ! Elle est pas belle la vie? 🌸🌺😍

4 avril 2022 : Il n’y a pas d’échec inutile
“Je ne perds jamais : soit je gagne, soit j’apprends.” – Nelson MANDELA

5 mars 2022 : « Faire sa part du colibri » : que vous inspire cette légende amérindienne ?
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés observaient, impuissants, le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou agacé par cette agitation dérisoire lui dit : “Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces quelques gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu !” Et le colibri lui répondit : “Je le sais, mais je fais ma part”.

25 janvier 2022 : Les fleurs de Bach entrent dans ma vie personnelle et professionnelle.

Vous vous demandez comment faire pour devenir Conseillère agréée au niveau international par le Centre Bach ? La réponse est ici ! Le parcours d’une conseillère agréée en fleurs de Bach c’est :
. UN NIVEAU 1 pendant lequel on découvre les 38 fleurs de Bach et les émotions qui leur sont corrélées. Deux jours à l’issue desquels on a la tête pleine d’informations avec une intuition qui nous dit qu’on a mis le doigt sur un outil sensationnel.
. UN NIVEAU 2 où les choses se corsent. Les subtilités des états émotionnels apparaissent. Une semaine folle à l’issue de laquelle on a envie de donner des fleurs à tout le monde 😉 Une semaine qui annonce le niveau 3 qui va permettre d’être conseillère en fleurs de Bach, en cours d’agrément par le centre Bach.
. UN NIVEAU 3 qui se décompose en trois étapes : la première a lieu, à l’issue de 4 jours intenses de formation, lorsqu’on doit plancher sur un devoir pendant 2 heures, comme au bon vieux temps. La seconde étape qui consiste à répondre à des courriers fictifs de personnes en demande de conseil en fleurs de Bach. Et enfin la troisième, celle dans laquelle je me trouve actuellement, qui consiste à réaliser deux entretiens avec 3 personnes différentes. L’objectif se rapproche 😊🌺🌸💪
5 octobre 2021 : Non, je ne suis pas un couteau suisse !
Une cliente m’interroge sur une problématique liée à la confiance en soi et à l’affirmation de soi. Je valide et lui fixe un rdv pour un coaching via zoom. Je lui adresse des tests à effectuer, ainsi que la convention de coaching. Elle effectue les tests et m’adresse le chèque à encaisser à l’issue de ce rdv à distance. Tout roule …
Deux jours avant le rdv elle me demande si je peux corriger sa posture et sa voix pendant le coaching. Je lui explique gentiment que ce travail je ne l’effectue pas à distance d’une part et que je ne suis ni orthophoniste ni coach vocale ou coach théâtre. Et bien la dame a annulé le coaching! Alors que ça soit bien clair : JE NE SUIS PAS UN COUTEAU SUISSE 😊
22 août 2020 : Le duplicate content vous connaissez ?
Dans mon cas c’est quand un « coach », censé être intègre, copié-collé des pages entières de mon site. Ça me révulse à chaque fois 😡 Le dernier en date a reçu un mail de ma part hier et j’attends une réaction très rapide de sa part. 😡😡😡
Quelques jours plus tard : Le coach qui avait plagié tout le contenu de tarifs a effacé tout le contenu plagié pour ne laisser que ses tarifs, bien plus élevés que les miens au passage. La menace d’une ouverture de litige auprès de Google fonctionne parfois !
Cette expérience m’a permis de découvrir un formidable outil gratuit qui vous dira la part de plagiat et la part de création dans les contenus que vous consultez. Attention si vous-même avez copié votre contenu pour l’insérer sur un site, sans le modifier, il sera probablement perçu par cet outil comme du plagiat.

Alors amusez-vous et voyez qui a une cervelle et une intégrité absolue, et qui se sert chez les autres en faisant du copié collé. 

12 août 2020 : le Covid et la recherche d’emploi

Entendu récemment de la bouche d’une jeune diplômée : « cette année, avec le covid, pas la peine de chercher du travail car personne n’embauche».
Alors allez-y les gens positifs et courageux, postulez et décrochez le job de vos rêves! Quand les esprits chagrin se réveilleront ça sera trop tard !
 

7 août 2020 : Aujourd’hui une cliente m’a demandé de lui reprogrammer le cerveau !
Elle se référait à la programmation neuro linguistique (PNL) mais ça m’a fait bizarre malgré tout 😊

Deux clients cette semaine me parlent d’un professeur ou instituteur qui les a traumatisés pendant leur scolarité. Ces deux personnes ont plus de 40 ans mais ne parviennent pas à passer le cap. Je les oriente vers une psychologue qui pratique l’EMDR et qui leur permettra de retraiter ces épisodes humiliants. L’EMDR est une méthode passionnante ! 

15 juillet 2019 : J’adore mon métier 😉
Aujourd’hui : séance de coaching passionnante avec une quarantenaire en réflexion sur son devenir professionnel. Quel beau métier je fais !

27 octobre 2018 : Rendre le présent parfait !

Ce matin j’ai reçu un message de la part d’une cliente reçue hier pour une première séance : «Bonjour Nathalie , Suite à notre entretien d’hier je ne maintiens pas le rendez vous prochain. Et finalement il suffit de peu de choses ! J’ai plusieurs éléments pour être heureuse en effet ! Merci ».
Cette personne a su rendre le présent parfait en listant tout ce qui allait très bien dans sa vie au lieu de se focaliser sur les points sombres de son passé. Je lui souhaite d’être heureuse ! Alors vous aussi, aujourd’hui, je vous invite à faire la liste de 50 bonheurs que vous possédez et dont vous ne pourriez pas vous passer. Allez, je commence : mes filles, toute ma famille, mes animaux, mon jardin, mon travail de Coach, ma voix, …… À vous maintenant !

9 avril 2018 : Les mystères du emailing
La semaine passée, j’ai eu envie d’envoyer un email aux personnes ayant accepté de figurer sur mon fichier, juste pour leur dire que je pensais à elles. Cela donnait ça : ” Coach Confiance fête le printemps avec vous ! Rien à vous vendre ni à vous conseiller ! Juste une pensée joyeuse pour vous accompagner en ce retour du printemps ! Coachément vôtre Nathalie Giudicelli – Directrice du Cabinet de Coaching Coach Confiance – 06 63 79 40 39 “

J’étais curieuse du résultat, et je vous en fais part. Mon plus gros taux de désabonnement à ce jour, et, pour ne retenir que le positif, quelques messages spontanés de remerciement.  Quelle leçon en tirer ? Si vous avez une idée, je suis preneuse. Bonne journée à tous 😉 

8 mars 2018 : “Educ spe et coach c’est pareil non ?”

L’appel du jour : « J’ai fait le test de personnalité sur votre site hier soir et vous avez raison je suis une rebelle ». Ok j’attends la suite en silence. « J’ai envie de devenir coach comme vous. Vous pensez qu’il faut vraiment suivre une formation ?». Restons calme ! «Oui c’est un métier qui nécessite une formation longue vous savez» «Mais je suis éduc spe. C’est pareil non? » « Non pas pareil madame » Je vous épargne la suite au cours de laquelle la personne s’étonne du fait que je fasse payer la séance de coaching. Je fais un métier très distrayant !

8 décembre 2017 : Test de ma personnalité !

Certaines personnes remplissent le test de personnalité en ligne sur mon site en cochant la même réponse à toutes les questions. De ce fait le test devient inexploitable. A chaque fois je m’interroge : que recherchent ces personnes? Veulent-elles deviner si je dépouille moi-même les tests? La réponse est oui.  Veulent-elles me montrer leur côté rebelle (c’est une hypothèse). Cherchent-elles à me faire perdre mon temps? Là j’ai une petite idée de la réponse 😉
Quoi qu’il en soit, si vous souhaitez en savoir plus sur vous même et sur les personnes qui vous entourent, n’hésitez pas à remplir ce test en ligne ! Bonne journée à tous 

19 novembre 2017 : Punchline pute à clique !

Punchline de l’émission “Capital” de ce soir : “Les coachs ont un succès fou, comment vous rendent-ils accro ?” Qui me parle…? Je la regarde ou pas cette émission dont les “journalistes ” n’ont pas dû rencontrer les coachs de vie honnêtes, ceux qui pratiquent tels des artisans (au sens noble de ce terme), et pas comme des showmen?
Après diffusion du sus-dit reportage : Ce reportage dénonce, en effet,  tout ce que je hais dans le coaching. Mais il généralise, c’est là où le bas blesse. Quand les coachs suivis par M6 pratiquent-ils une séance en tête à tête avec un client qui va mal ? Ils n’ont pas le temps probablement. Le bonheur ne se vend pas, et le coaching tel que je le pratique ne ressemble en rien à tout ce bordel (désolée je suis énervée). Les dérives sectaires dénoncées sont réelles Je reproche au reportage la généralisation. Si Je n’étais pas Coach de vie depuis 2007,  et que je découvrais le coaching sur M6, je partirais en courant !

17 octobre 2017 : Les demandes saugrenues en coaching 😉

Message reçu ce jour sur ma boite personnelle VIADEO : “Je suis à la recherche d’un emploi dans n’importe quel domaine. T’as pas quelque chose à me proposer svp? Merci” 
Je ne peux évidemment pas aider ce Monsieur puisque je suis Coach emploi et pas Pôle emploi ! De plus, le coach n’est pas un magicien qui résout tous les problèmes d’un coup de baguette magique. Il y a très longtemps, une dame m’avait appelée pour que je lui trouve un appartement, un autre pour que je l’aide à être moins timide… pour démarrer comme acteur dans les films X. Beaucoup de demandes saugrenues en coaching. La preuve qu’il y a encore beaucoup à faire pour faire connaitre ce beau métier ! 

3 octobre 2017 : “Ca commence aujourd’hui” m’appelle….

Mail reçu ce jour : “Bonjour, Je suis journaliste pour l’émission « Ça commence aujourd’hui » diffusée tous les jours à 14H sur France 2 et présentée par Faustine Bollaert. Je prépare actuellement une émission sur le thème suivant : « j’ai fait de mon complexe une force » et je cherche des personnes qui voudraient venir témoigner sur notre plateau la semaine prochaine. Je cherche des personnes qui auraient utilisé leur complexe pour devenir plus fortes (ex: castra devenu chanteur d’opéra, timide devenu dessinateur a succès, …)  Pouvez-vous m’aider dans mes recherches?”

Alors, comme d’habitude j’ai répondu “non”. J’ai une déontologie qui fait que je ne donne pas les noms de mes clients. Vu le nombre de participants à ce type d’émissions, je suppose que certains de mes confrères ne réagissent pas comme moi. Vous en pensez quoi vous?  

15 septembre 2017 : un merci ça me fait toujours plaisir.

Un mail reçu cet été qui est agréable à relire : “Bonjour Nathalie, j’espère que vous allez bien 😊. Je suis heureuse de vous annoncer que je viens de recevoir mon offre en tant que Directrice Commerciale pour un grand hôtel. Je commence dans 10 jours. Merci pour votre aide et soutien. Vous m’avez redonné confiance et aidée à y voir plus clair 🤗
 

30 juin 2017 : Fière de ma jeune cliente !

Ma jeune cliente est maroquinière et vient, à 21 ans, de réussir le difficile parcours pour intégrer un célèbre groupe de maroquinerie de luxe. Fière de son parcours  

14 juin 2017 : Le coaching intra-utéro a-t-il de l’avenir ?

Depuis 2 mois, je coache “une personne et demi”, puisque ma cliente attend un bébé 👶. Je me demande si ce petit bout profite des séances au même titre que sa maman …. Le coaching intra-utero : et pourquoi pas?
 

4 mai 2017 : Je suis H.E.U.R.E.U.S.E !

Je vais vous refaire le coup du client qui m’appelle pour me dire qu’il vient de signer un CDI au poste et salaire désirés. Je vais vous redire que je suis une Coach emploi comblée à chaque fois que je reçois une telle nouvelle. Mais c’est la vérité 😊 Vive le coaching et bravo à mon client 👏👏 

15 août 2014 : Première séance de coaching payante.

Ce matin mail d’une personne réagissant au fait que la première séance de coaching soit payante : “Prendre RDV pour demander des informations c’est payant? ok, merci pour vos informations mais je ne suis plus intéressée, cdt” Un client en coaching n’est pas une voiture pour laquelle on applique un barème préétabli : “Alors, vous êtes timide?…ça vous fera 10 séances à régler de suite !” La première séance sert à établir un diagnostic et à évaluer le champs d’action possible du coaching ainsi que le nombre de séances nécessaires. Bref : cette personne m’a bien agacée 😉
 

25 mars 2014 : Employer les mots à bon escient.
Certains termes deviennent à la mode et sont vidés de leur sens aux yeux (ou aux oreilles plutôt) de beaucoup de gens. Je pense aux mots comme : “coach”, “burnout”, “pervers narcissique”.
Comment éviter les dérives verbales dans les médias, dans les téléfilms, dans les publicités? Comment être pris au sérieux lorsqu’on dit que l’on est coach ? Comment éviter la question récurrente : “C’est quoi exactement le coaching ?” Comment dire à une cliente que, non, son chef n’est pas un pervers narcissique alors qu’elle s’en était persuadée. Personnellement, j’y arrive, mais parfois j’aimerais vivre dans un monde où les mots seraient employés à bon escient. Bonne soirée à tous.

14 février 2014 : Les questions en coaching :

Etes-vous hérisson ou paillasson?
Etes vous +/+, +/- ou -/+?
Sur une échelle de un à 10, à combien évaluez-vous vos chances de réussite?
Que détestez vous le plus chez les autres?
Qu’attendez-vous de cette séance?

Voilà les questions auxquelles il faut vous attendre si nous démarrons un coaching. A force de poser des questions à mes clients, j’ai aussi un peu ce travers dans la vie (désolée les amis). Les questions permettent de confronter, d’avancer, de rebondir, mais peuvent déranger ceux qui ne s’en posent jamais.
Ma question préférée quand un client me dit : “je ne sais pas, je ne vois pas” est : “Et si vous saviez?”. Et là, comme par magie, ils me répondent.
Bonne journée à tous.
 

8 janvier 2014 : Je passe parfois pour une emmerdeuse !
Être affirmée c’est accepter de passer pour une emmerdeuse aux yeux de certaines personnes. Je pose des questions tant que je n’ai pas compris. Je dis calmement que je ne suis pas d’accord. Je demande un autre steack au resto si le mien est trop cuit etc… Bref Je suis affirmée … Ou casse c… A vous de voir. Depuis que je suis ainsi, je suis en accord avec mes valeurs et mes convictions. J’accompagne mes clients vers l’affirmation de soi en leur expliquant qu’eux aussi passeront peut-être pour des casse pieds On ne peut pas plaire à tout le monde;-)

28 décembre 2013 : Coacher les ados ou les parents?
Peut-on coacher un ado si le parent accompagnant a peur des changements engendrés par le coaching (une plus grande autonomie de son ado par exemple)? Ma réponse est non. Concernant l’adolescente que je viens de recevoir, il aurait fallu coacher la maman avant l’ado, et il m’a fallu 1 séance pour en être sûre.  Au milieu, une ado en détresse pour laquelle je ne peux rien faire pour l’instant ;-(

13 décembre 2013 : L’urgence du client ne doit pas être la mienne.
Une future cliente, recommandée par une amie, me demande un rendez vous téléphonique en urgence. Elle a une décision à prendre à propos d’un poste qu’on lui propose. Je joue le jeu de l’urgence, lui demande de m’envoyer des documents nécessaires à la préparation du rv (cv, description du poste…). Bref, je fais mon travail, en cédant peut-être un peu trop vite à la pression du temps qu’elle impose.
Résultat : au court des 5 premières minutes de la séance de coaching téléphonique, elle m’annonce qu’elle a déjà dit oui à l’employeur une heure plus tôt. Frustration du coach !

12 décembre 2013 : Pourquoi il m’arrive d’interrompre un coaching ?
Toujours difficile pour moi de mettre fin à un coaching en cours ! Les raisons les plus fréquentes sont les suivantes :  – La personne s’avère relever de la thérapie (il faut parfois plusieurs séances pour en être certain) – La personne n’a pas une réelle envie de changer – La personne est venue pour se prouver que même le coaching ne peut rien pour elle.
Quoi qu’il en soit, je ne continue pas un coaching dans ces conditions car il ne serait pas efficace.

10 décembre 2013 : Tout l’art du feed-back !
Et là le gentil gendarme décrète que “Je suis un danger public”, le répète trois fois,  des fois que je sois sourde. Reformulation intérieure immédiate : Mes feux automatiques ne se sont pas déclenchés avec le brouillard, et donc, aujourd’hui, en ne vérifiant pas mon tableau de bord, je me suis mise involontairement en danger, et j’ai mis en danger les autres. Voilà, ça c’est un feed back spécifique (pas de généralisation), constructif et utile. L’art du feed-back n’est pas donné à tout le monde!

29 novembre 2013 : Le coaching en ligne pour éviter les microbes !
Gros rhume : avantage du coaching en ligne, je vais garder mes microbes en coachant avec la voix d’Amanda Lear. Bonne journée à tous !

 26 novembre 2013 : “Vous êtes obligée de dire que vous êtes Coach ?”
Aujourd’hui, 14h00, le téléphone sonne : “Bonjour Madame, je me présente, M… de l’annuaire… Puis-je passer vous voir pour vous présenter notre parution de janvier ?” Ca tombe bien, je m’ennuie un peu, je lui demande de passer. Nous tombons d’accord sur un encart, et au moment de concevoir le contenu, la question qui tue arrive : “Vous êtes obligée de dire que vous êtes Coach?” . Tout est dit. Ce commercial, très professionnel par ailleurs, fait la remarque la plus pertinente que j’ai eu à entendre ces derniers temps à propos de mon activité. Dire que je suis coach nuit-il au développement de mon activité? Face à mon hoquet nerveux, le monsieur développe : “vous savez je suis néophyte, et ma réaction face au mot coach c’est de partir. Trop de coachs à la télé, dans les magazines, sur les réseaux sociaux.” Je lui explique que “Coach” est un métier qui nécessite de longues années de travail sur soi, une formation poussée. Mais il reste sceptique parce que lui il a retenu les coachs de M6, les coachs Kiabi et j’en passe. 

25 novembre 2013 : Pourquoi attendre avant de démarrer un coaching ?
Pourquoi certains de mes futurs clients tardent-ils à démarrer un coaching?
. peur de changer leurs habitudes
. peur de passer à l’action
. attendent d’aller très mal pour venir me consulter
. ont des difficultés financières très importantes
. leur entourage les incite à se méfier du coaching
. sont dépassés par l’idée de se remettre en question
. préfèrent continuer ainsi, même s’ils ne sont pas épanoui…

Et vous, avez vous déjà pensé à démarrer un coaching? Qu’est-ce qui vous a stoppé(e)?

19 novembre 2013 : Le bouche à oreilles ?
Si toutes les personnes qui sont censées me contacter pour un coaching, suite à la recommandation d’un ami, le faisaient.. je serais milliardaire !
Preuve que la démarche de s’engager dans un coaching relève d’une décision personnelle et très difficile à prendre.. Je saurai vous attendre

 28 juin 2013 : Victor Frankl
La citation qui me permet d’avancer quand je doute : “On peut tout enlever à une personne, excepté une chose, la dernière des libertés humaines : celle de décider de sa conduite, quelles que soient les circonstances dans lesquelles elle se trouve”. Docteur Viktor E.Frankl dans Découvrir un sens à sa vie

Le coaching de la timidité : actions possibles et limites

Le coaching de la timidité : actions possibles et limites

timidité

Le coaching de la timidité

Des personnes timides nous en avons tous rencontrées. Nous sommes nombreux à avoir été, à un moment de notre vie, intimidés. Une récente étude sur la timidité révèle que 40 à 60% des français se disent timides. Nous n’avons cependant pas tous la même représentation de la timidité.

Même les scientifiques ont du mal à tomber d’accord sur une définition de la timidité.

S’agit-il d’un trouble du comportement, d’un trait de caractère ? Pour notre part, nous avons choisi de vous livrer la définition des auteurs Christophe André et Patrick Légeron dans leur livre « La peur des autres : trac, timidité, et phobie sociale » (Edition Odile Jacob Poche).
Ils définissent ainsi la timidité : La timidité est « un type particulier d’anxiété sociale, exprimant une manière d’être durable et habituelle, marquée par une tendance prononcée, lors des situations nouvelles, à se tenir en retrait et à éviter de prendre l’initiative, malgré un désir relatif d’échanges avec l’entourage. La timidité renvoie à la double existence d’un malaise intérieur, et d’une maladresse extérieure en présence d’autrui. Elle n’exclut toutefois pas des capacités à s’adapter beaucoup plus développées que dans les formes pathologiques d’anxiété sociale”

 

1. La timidité est une manière d’être durable et habituelle :

Lors de séances individuelles de coaching, ou de formation en développement personnel, nous demandons à nos clients de décrire les situations dans lesquelles ils sont le plus souvent, ou le plus intensément intimidés. A partir de ce qu’ils décrivent (leur état présent), nous évaluons ce qui relève d’ancrages profonds venant du passé, et qui devra peut-être être traité par un thérapeute.

Le coaching ne répondra pas à la question : « Pourquoi suis-je timide ? ».

Le coaching répondra à la question : « Comment puis-je faire pour être moins timide ? »

Pour cela, nous pointons avec nos clients leurs « mauvaises habitudes » (qui peuvent consister à éviter certaines situations par exemple), et tentons de les accompagner vers un changement d’habitude durable. Nous savons aussi mettre en valeur les aspects positifs de la timidité, et mettre à jour les ressources dont disposent nos clients sans le savoir.

 

2. La timidité est marquée par une tendance prononcée, lors de situations nouvelles, à se tenir en retrait :

Les séances de coaching permettent de « dérouler les peurs » jusqu’à leur point culminant. Prenons pour exemple cette conversation avec l’une de nos clientes qui voulait changer de profession à 40 ans :
Le coach : « Comment pourriez-vous en savoir plus sur ce nouveau métier ? »

La cliente : « Je ne sais pas »
Le coach : « Et si vous saviez, vous diriez quoi ? »
La cliente : « …… peut-être qu’il faudrait que je parle avec une personne exerçant cette profession… oui, ça m’aiderait. Mais je n’oserai jamais ! »
Le coach : « Pourquoi ? Qu’est-ce qui vous freine ? »
La cliente : « J’ai peur de la déranger. Et puis, je ne sais pas quoi lui dire »
Le coach : « Qu’est-ce qui pourrait arriver de pire quand vous l’appellerez ? Et si cela arrive, comment pourrez-vous réagir ? »

Etc…etc……. Cette séance a duré une heure, pendant laquelle j’ai questionné la cliente sur ses peurs. Je lui ai également demandé de chausser les lunettes du professionnel qui allait répondre à ses questions, pour qu’elle voit le monde au travers de son cadre de référence à lui. Elle a, peu à peu, pris conscience de l’aspect valorisant que pouvait représenter le fait d’être questionné par quel qu’un en tant qu’expert de sa profession. Elle a peu à peu pris confiance. A la fin de la séance, nous avions rédigé un argumentaire téléphonique. Depuis, cette personne a rencontré des professionnels en activité dans ce nouveau domaine, a suivi une formation courte et spécifique à ce nouveau métier, et elle créé actuellement son entreprise. Si je lui avais dis cela 6 séances auparavant : elle n’aurait même pas poursuivi son coaching lui serait apparu comme irréalisable.

 

3.  La timidité est marquée par une tendance prononcée, lors de situations nouvelles, à éviter de prendre l’initiative  :

Prendre une initiative, c’est décider. Décider, c’est faire un choix, et renoncer à un autre. Les personnes timides peuvent avoir des difficultés à prendre des décisions qui les mettraient sur le devant de la scène. Car, bonne ou mauvaise, cette décision attirerait l’attention sur elles, et le regard des autres fait peur aux personnes timides ou peu affirmées. Le coaching travaille sur l’affirmation de soi et l’incapacité décisionnelle et vous aide à avancer dans ce domaine grâce à des outils spécifiques.

Témoignage de Sandra qui souffrait de timidité qui l’empêchait d’agir : « La plus grande difficulté dans la prise de décision c’est de faire des choix, car «décider, c’est renoncer ». Là encore, grâce à ses outils, le coaching m’a aidée à comprendre le processus de prise de décision et les éléments qui le composent, les étapes et les questions clefs qu’il faut se poser avant de décider. Ce travail m’a permis d’élaborer une stratégie de mise en œuvre pour atteindre mes objectifs … Le coaching m’a permis de mettre en oeuvre mon plus grand challenge : me recentrer sur moi-même et retrouver confiance en moi, me fixer des objectifs et m’y tenir. »

 

4. Les personnes timides éprouvent «un désir relatif d’échanges avec l’entourage »

C’est pourquoi il faut les accompagner pour renouer le dialogue avec « les autres ». Sur ce chapitre, il est primordial de savoir différencier Timidité/ Trac et Phobie Sociale. En effet, s’il s’agit de phobie sociale, le coaching relationnel (que nous travaillons en nous appuyant sur le cadre de référence de l’analyse transactionnelle) aura vite atteint ses limites. Une personne souffrant de phobie sociale doit également consulter un psychiatre spécialisé dans ce domaine. Le coaching seul ne l’aidera pas.

En ce qui concerne les personnes atteintes de trac et/ou de timidité, nous pouvons les accompagner :

. en évaluant leur niveau de peur des autres selon les circonstances
. en les accompagnant dans certains exercices d’affirmation de soi
. en travaillant sur le triptyque : idéal du moi/ estime de soi/ confiance en soi
. en proposant un éclairage en fleurs de Bach puisque les émotions sont au coeur de la timidité selon nous.

Les séances peuvent éventuellement se dérouler en ligne. Un premier entretien téléphonique avec la personne permettra d’évaluer l’intérêt d’un coaching. 

  • Quel est le lien entre harcèlement moral et burnout syndrom ?

    Dans les deux cas, sont en cause des facteurs liés à l'environnement, et des facteurs liés à la personne touchée. Dans le cas du harcèlement, il y a une personne dite "pervers narcissique" qui en détruit une autre. Dans le cas du burnout, c'est plus un système qui est en cause. Du côté de la victime, dans les deux cas, il s'agit d'une personne compétente, qui s'investit beaucoup, et ne sait pas dire STOP ou NON .

  • Quels sont les signes avant-coureurs d'un burnout ?

    Les signes avant-coureurs à observer sont :

    • Des palpitations
    • Des mains moites
    • Des suées
    • Une consommation accrue de tabac, alcool, tranquillisants
    • Une émotivité exacerbée
    • Ces signes mènent à une fatigue chronique, à un stress pathologique.
    • Les conséquences médicales du burnout, une fois ce stade de stress intense atteint, peuvent être les suivantes :
    • état de fatigue anormale et persistante, irrécupérable même le week-end
    • céphalées chroniques
    • difficultés de concentration et troubles éventuels de la mémoire
    • troubles du sommeil
    • troubles musculo-squelettiques
    • troubles gastro-intestinaux
    • augmentation des concentrations sanguines en cholestérol, triglycérides ou acide urique.
    • inflammations conduisant à l’athérosclérose et au diabète de type 2
    • problèmes cardio-vasculaires

  • Qu'est-ce qu'un objectif SMARTE ?

    C'est un objectif :

    • Spécifique : Les objectifs vagues ont une fâcheuse tendance à ne jamais être atteints
      Ex : Je veux améliorer ma confiance en moi
      Les questions à se poser pour le rendre spécifique : dans quel domaine ? Pour faire quo i?
      Ex : Je veux gagner plus d'argent
      Les questions à se poser pour le rendre spécifique : combien exactement ?
    • Mesurable : Il est important de pouvoir identifier les éléments qui permettront de déterminer dans quelle mesure nous avançons vers cet objectif, de constater qu'il est atteint.
      Questions pour le rendre mesurable : quels sont les dix critères qui vous permettront de réaliser que votre objectif est atteint ? Où en êtes vous aujourd’hui (notez vous sur 10) pour chacun de ces critères ?
    • Atteignable : A se fixer des objectifs inatteignables, on court à la déception, au découragement.
      Questions pour vérifier qu’il est atteignable : Vous sentez-vous aujourd’hui capable d’atteindre cet objectif ? A combien mesurez-vous vos chances de réussite. Si la réponse est inférieure à 5/10 : Qu’est-ce qui vous freine ? Vous sentez-vous en mesure de mettre en place les changements et les apprentissages nécessaires à l’atteinte de cet objectif ?

    • Réaliste : Cette notion est très fluctuante selon les personnes. Tout dépend de vos limites. Une personne sans jambe qui se lance dans la course à pied à haut niveau grâce à des prothèses s’est fixé un objectif réaliste. Cela n’est pas donné à tout le monde.
      A chacun de déterminer le degré d'ambition qui lui convient, et la limite au-delà de laquelle l'objectif devient une épreuve insurmontable plus génératrice de stress et de procrastination que de motivation.

    • Temporellement déterminé : Un objectif qui n’est pas inscrit dans le temps est un objectif voué à l’échec (ex : « on s’appelle ! », « passez boire un verre à l’occasion »)
      Fixer une date est beaucoup plus efficace. Le délai de réalisation d’un objectif doit être bien évalué : assez long pour éviter une pression inutile et suffisamment court pour qu'il ne soit pas dilué dans le temps.

    • Ecologique : Cohérent avec votre environnement familial et économique.

  • Comment est née la prière scoute ?

    Jacques Sévin est né en 1882 à Lille. Après des études supérieures d’anglais il entre au noviciat des jésuites le 15 décembre 1900. Il se rend en Angleterre en 1913 pour connaître le scoutisme de Baden Powell, où il participe à un rallye de 3000 scouts. Convaincu que ce mouvement est une véritable force naissante il forme le projet de le lancer en France. Il est ordonné prêtre en 1914.

    La prière scoute est la prière des mouvements scouts catholiques. Les Scouts, lorsqu'ils la chantent se tiennent les bras le long du corps, en hommage à St Ignace de Loyola, paralysé à la fin de ses jours.

    En 2016, la France comptait 170000 scouts répartis en 10 grands mouvements.

  • Qu'est-ce que le développement personnel ?

    Le Développement Personnel renvoie à toutes les activités proposant de développer une connaissance de soi, de valoriser ses talents et potentiels, de travailler à une meilleure qualité de vie, et de réaliser ses aspirations et ses rêves. Le coaching en fait partie.

  • Qu'est-ce que la timidité exactement ?

    Elle se manifeste de manière différente selon les personnes (regard fuyant, rougissement, agitation, mutisme, bégaiement, tachycardie, palpitations, sueur, tremblements, souffle coupé, engourdissement, tension musculaire, fatigue,.... )

    Elle intervient dans des situations de rapport aux autres, et est chronique.

    Les timides ont peur de ne pas être « validés » (ou acceptés) par les autres pour ce qu’ils sont.

    Ils n’ont pas une bonne image d’eux-mêmes. Ils ne s’accordent pas une grande valeur au regard de l’idéal d’eux-mêmes qu’ils se sont fixés (et qui est souvent trop ambitieux, voire irréaliste). Il en découle un sentiment de faible confiance en eux.

    Souvent on dit d’une personne « elle est timide, c’est sa nature », comme si cela ne pouvait pas évoluer. Heureusement, il n’en est rien. Les personnes timides peuvent développer de nouveaux comportements dans leurs relations aux autres grâce, notamment, au coaching relationnel (qui s’appuie, en ce qui nous concerne, sur l’Analyse Transactionnelle).

  • Qu'est-ce que le trac ?

    Le trac (ou anxiété de performance) est un phénomène ponctuel, lié à un contexte particulier, au cours duquel une personne est seule face à d’autres. Ici, c’est le regard de l’autre qui pose problème pendant la situation de performance (oral d’examen, exposé devant un auditoire, entretien d’embauche, …)

    Louis Jouvet répondait à une actrice qui lui avouait ne jamais avoir le trac : « Cela viendra avec le talent ! ». Le trac peut, en effet, être indispensable à l’accomplissement d’une performance, à condition qu’il ne devienne pas trop envahissant !

    Malheureusement, bien souvent, le trac génère des symptômes très désagréables (rappelons-nous Jacques BREL qui vomissait avant chaque spectacle), qui peuvent diminuer la performance à des degrés plus ou moins divers selon la personne. Le trac est un phénomène d’anxiété d’anticipation essentiellement. Souvent, lorsque l’on « y est », le trac disparaît ou diminue.

  • Qu'est-ce que l'anxiété sociale ?

    L’anxiété ou phobie sociale (communément appelée « timidité maladive ») ne relève pas du coaching de vie, à moins qu la personne ne soit accompagner par un psychiatre ou psychologue. La phobie sociale relève des thérapies brèves et/ou de participation à des groupes de paroles, qui se révèlent très efficaces pour ne pas tomber dans le travers de l’évitement. Le repli sur soi est en effet un grand danger inhérent à la phobie sociale, et peut mener à une réelle désocialisation. Les personnes atteintes de troubles d’anxiété sociale, appelée aussi phobie sociale, se sentent très mal à l’aise, ou même paralysées, dans des situations sociales ou professionnelles, parce qu’elles ont une peur intense d’être observées attentivement ou mises dans l’embarras. Par conséquent, soit, elles évitent totalement les contacts sociaux, soit, elles les redoutent.

  • Lectures recommandées sur la timidité

    · Affirmez-vous, pour mieux vivre avec les autres, Docteur Frédéric Fanget (Editions Odile Jacob pratique)

    · La peur des autres, trac, timidité et phobie sociale, Christophe André et Patrick Légeron (Editions Odile Jacob poches)

    · L’estime de soi : s’aimer pour mieux vivre avec les autres, Christophe André, François Lelord (Editions Odile Jacob)

    · Estime de soi, Confiance en Soi, Josiane de Saint Paul (InterEditions)

20 problématiques de Coaching de vie

20 problématiques de Coaching de vie

problématiques

Problématiques de coaching de vie : 20 exemples traités par Coach Confiance !

Petit préambule nécessaire à la compréhension de cet article : on ne consulte pas un coach si on n’a pas une problématique à résoudre !

Depuis 2007, je suis coach de vie, plus particulièrement spécialisée dans :

L’âge de mes clients va de 14 à 75 ans à ce jour. Les métiers pratiqués vont de comédien à chercheur au CNRS. Les durées des accompagnements vont de 3 heures à 10 heures, selon les problématiques de coaching apportées par mes clients.

La première question que je me pose lorsqu’un futur client me téléphone (c’est souvent ainsi que se noue le premier contact) est : “La problématique de ce client relève-t-elle ou non du coaching?”. Pour être honnête, c’est parfois au cours de la première séance que l’on peut réellement répondre à cette question fondamentale. En effet, certaines personnes ne révèlent pas de suite leur demande réelle; tout simplement parce qu’elles n’en n’ont pas conscience elles-mêmes.

Premier exemple de problématique de coaching : vouloir développer et améliorer confiance en soi et affirmation de soi :

  • Stéphanie, Responsable administrative de 35 ans voulait s’affirmer face à son équipe – 6 séances lui ont permis de connaître les bases techniques de l’affirmation de soi et de les appliquer en entreprise
  • Sophie, Comportementaliste canin de 30 ans ne parvenait pas à obtenir son code de la route – 1 séance de coaching lui a permis de comprendre les blocages qu’elle s’imposait à elle même, et de décrocher son code
  • Emma, Agent immobilier de 37 ans avait très peur de reprendre le travail après son congé parental – 1 séance de coaching lui a redonné confiance en elle
  • Sylvia, Chercheur au CNRS de 37 ans se trouvait souvent prise au sein du triangle dramatique – 13 séances lui ont permis de découvrir et mettre en œuvre les concepts de l’Analyse Transactionnelle pour mieux s’affirmer et ne plus entrer dans les jeux psychologiques au travail ou dans sa vie personnelle
  • Henry, Cadre Administratif Hospitalier de 49 ans avait du mal à gérer son temps – 2 séances ont permis de constater… qu’il n’était pas prêt à consacrer du temps à cette problématique puisqu’il n’a pas voulu s’engager dans ce parcours difficile qui consiste à changer ses habitudes en matière de gestion du temps
  • Olivia, sans emploi – 40 ans venait de traverser une période sombre de sa vie, sur fonds de violence conjugale – 10 séances ont permis de lui rappeler la belle personne qu’elle était, et de retrouver confiance en elle, au point de décrocher un emploi de Directrice Commerciale et de repartir d’un pied assuré dans la vie.

Deuxième exemple de problématique de coaching : comprendre et sortir d’une situation de harcèlement moral :

  • Marie Hélène, Clerc de notaire de 39 ans vivait au côté d’un pervers narcissique et voulait le quitter – Un séance bilan m’a permis de l’orienter vers des associations spécialisées afin d’assurer sa protection physique et juridique.
  • Pauline, Institutrice de 48 ans était sous l’emprise de son conjoint (qui a même cherché à m’intimider par téléphone) – Deux séances n’ont pas suffi et je n’ai plus de nouvelles…
  • Valérie, Secrétaire Générale de Mairie de 45 ans vivait une double situation de harcèlement moral (sphère privée et professionnelle) et avait assisté à un événement traumatisant sur son lieu de travail (tentative de suicide d’un collègue) – 5 séances lui ont permis de mettre un nom sur ce qu’elle subissait, et l’ont conduite à entamer un travail avec un praticien EMDR que je lui avais recommandé. Aujourd’hui elle est guérie de son Stress Post Traumatique. 
  • Claire, Infirmière de 55 ans subissait du harcèlement moral dans la sphère privée et professionnelle – 4 séances lui ont permis de “trouver un apaisement à la maison et au travail” 

Troisième exemple de problématique de coaching : comprendre et sortir d’une situation de burn-out :

  • Sandrine, Responsable Formation de 49 ans – Le coaching de trois séances a été un sas avant de démarrer une thérapie
  • Isabelle, Assistante administrative de 45 ans “désespérait d’avancer” lorsqu’elle m’a contactée suite à deux burnout – En 4 séances nous avons évoqué ce qu’était précisément le burnout et travaillé des techniques d’affirmation de soi. Son épuisement était tellement avancé, que je l’ai adressée à un psychologue EMDR très efficace sur Lyon. Aujourd’hui elle va mieux.
  • Typhanie, Consultante Informatique de 35 ans débutait un burnout lorsqu’elle m’a contactée – En 9 séances, nous avons testé son niveau de burnout et travaillé des techniques d’affirmation de soi. Elle a également pu libérer sa parole, ce dont elle avait grand besoin.
  • Sophie, Déléguée médicale de 37 ans connaissait des problèmes relationnels au travail – 10 séances lui ont permis de découvrir les concepts de l’analyse transactionnelle pour ne plus entrer dans les jeux psychologiques, et de mettre à jour un burnout qu’elle n’avait pas identifié

Quatrième exemple de problématique de coaching : se repositionner professionnellement :

  • Paul, technicien de laboratoire de 28 ans, n’avait pas réussi à valider son diplôme final – 8 séances lui ont permis de comprendre ses différents échecs scolaires, de prendre conscience de tous ses atouts professionnels, et d’avoir l’intelligence de se réorienter pour signer un CDI avec des perspectives d’avenir qui le comblent aujourd’hui.
  • Sandra, Responsable commerciale de 37 ans devait affronter une maladie et une recherche d’emploi – 8 séances ont permis de revoir ses priorités professionnelles et de mettre à jour ses outils de recherche d’emploi (cv, réseaux sociaux, entretien d’embauche, pitch…)
  • Armelle, Responsable de projets de 37 ans – 6 séances pour retrouver un nouvel emploi
  • Linda, Formatrice de 29 ans voulait améliorer ses prestations lors d’entretiens de recrutement – 3 séances d’entrainement et de décontamination de ses peurs l’ont remise sur les rails
  • Agnès, Commerciale de 47 ans était en fin de droits pôle emploi et désespérait de retrouver une situation professionnelle satisfaisante – 6 séances ont permis de lui restituer sa vraie valeur, celle qu’elle avait oublié, et de lui permettre de travailler les outils de recherche d’emploi actuels dont elle n’avait jamais eu à se servir. Elle a signé un CDI à la hauteur de ses prétentions salariales au bout de 3 mois d’accompagnement. Aujourd’hui, elle a même été promue.
  • Maria, manipulatrice en radiologie de 30 ans tentait une adaptation au marché du travail français car elle avait été formée dans son pays d’origine – 5 séances lui ont permis de reprendre confiance en elle, de démarcher des entreprises françaises, et de signer un CDI.

Je n’ai pas évoqué ici les cas les plus lourds qui, souvent, relèvent de la thérapie, ceux dont je ne peux pas poursuivre l’accompagnement (dépressions lourdes, maladies psychiatriques….).

 

Bilan de compétences et/ou  Coaching en reconversion professionnelle ?

Bilan de compétences et/ou Coaching en reconversion professionnelle ?

Faire un bilan de compétences ou un coaching emploi ? Doit-on vraiment choisir ?

bilan de compétences

Dans quels cas faire un bilan de vos compétences (soft skills et hard skills) ?

. Vous travaillez depuis 10 ou 20 ans au sein de la même entreprise, et aucun espoir d’évolution ne se profile à l’horizon.
. Vous estimez avoir fait le tour de votre métier actuel, et, comme un français sur deux, vous envisagez de changer de métier, mais vous hésitez entre plusieurs projets.
. Vous venez d’être licencié, et c’est le néant ; vous ne savez plus si vous voulez vraiment rechercher un emploi identique, si vous voulez vous mettre à votre compte, vous êtes perdu !

Aux termes de la loi du 31 décembre 1991 : “Le bilan de compétences doit permettre au salarié d’analyser ses compétences professionnelles et individuelles, ainsi que ses potentialités mobilisables dans le cadre d’un projet professionnel ou d’un projet de formation”.

Un bilan de compétences se déroule en trois étapes :

  • La phase préliminaire
  • La phase d’investigation
  • La phase de conclusion et d’élaboration de projet professionnel ou de formation

Les objectifs du bilan de compétences sont les suivants :

  • analyser vos aptitudes, vos motivations personnelles et professionnelles, vos motivations
  • organiser vos priorités professionnelles
  • utiliser vos atouts comme un élément de négociation en interne pour obtenir une évolution de carrière

Qui peut déclencher un bilan de compétences ? :

  • la personne active salariée engagée dans une démarche d’évolution professionnelle ;
  • le salarié dans le cadre d’un congé spécifique ;
  • l’employeur, avec l’accord du salarié, dans le cadre du plan de formation de l’entreprise.

A l’issue d’un bilan de compétences, vous aurez mis à jour un projet (ou deux), mais vous devrez le mettre en oeuvre seul !

C’est alors qu’intervient le coaching en reconversion professionnelle qui est une méthode d’accompagnement qui vous permet de faire le point sur vos attentes professionnelles, et vous accompagnera dans la réalisation du projet mis à jour lors du bilan. 

Les séances de Coaching en reconversion professionnelle peuvent comporter :

  •  du coaching (pour détecter par exemple de quoi a besoin le client pour être épanoui au travail)
  •  du conseil (refonte du cv, simulation d’entretien, lettre de motivation, inscription sur les réseaux sociaux, mise en oeuvre d’un nouveau projet professionnel)
  • des formations individuelles et sur-mesure
  • un bilan professionnel qui permet de mettre à jour vos compétences et d’élaborer un projet professionnel.

Poursuivre un bilan de compétence suivi d’un coaching en reconversion professionnelle de quelques heures permet donc de mener le projet à son terme, et de repartir d’un bon pied ! Pour ma part, je préconise de réaliser uniquement le coaching en reconversion professionnelle qui me semble beaucoup plus pertinent (et vous reviendra à 6 heures de coaching environ au lieu de 14heures pour le bilan de compétences)

Intelligence émotionnelle et Coaching de vie

Intelligence émotionnelle et Coaching de vie

intelligence émotionnelle

L’Intelligence émotionnelle peut être optimisée grâce au coaching de vie et aux fleurs de Bach

 

Le coaching de vie permet, entre autre, d’accompagner les personnes mal à l’aise avec leurs émotions. Au cours du coaching , elles identifieront et accepteront leurs émotions, afin de les utiliser comme des points forts. Elles amélioreront ainsi leur intelligence émotionnelle (capacité d’une personne à mobiliser ses compétences, ses aptitudes, ses connaissances, pour faire face efficacement aux pressions de son environnement). Les Fleurs de Bach constituent également un système très efficace pour trouver notre “la émotionnel”. 

Daniel Goleman (« L’intelligence émotionnelle ») définit l’intelligence émotionnelle en 6 points :

  • Etre capable de se motiver et de persévérer malgré l’adversité et les frustrations
  • Etre capable de gérer ses pulsions et ses frustrations
  • Etre capacité de réguler son humeur
  • Etre capable d’empêcher la détresse d’altérer ses facultés de raisonnement
  • Etre empathique
  • Etre capable de toujours espérer 

Qu’est-ce qu’une émotion ?

C’est une réaction affective et pulsionnelle qui se manifeste par des mouvements neuro-végétatifs (exemple : le fait rougir). L’émotion est obligatoirement créée par un déclencheur externe. Les émotions sont ressenties par rapport à notre référentiel personnel de vie.

Les émotions de base sont : Joie – Colère – Surprise – Peur – Tristesse – Dégoût

On différencie les émotions des sentiments. Les sentiments sont des états affectifs plus complexes. Ils sont plus stables et durables que les émotions. Ils ne sont pas réactionnels.

Les sentiments les plus connus sont : La confiance en soi  – La rancune – La honte – La jalousie – La culpabilité – Le regret – L’amour – La haine – La curiosité – L’enthousiasme – La passion – La fierté …….

Qu’est-ce que l’intelligence émotionnelle ?

Isabelle Fillozat (« L’intelligence du cœur ») pose ainsi la problématique des émotions : « Ce n’est pas la raison qui guide le monde, ce sont les émotions ». « Les émotions qu’on ne veut pas écouter prennent le pouvoir ».

 

LE COACHING DE L’INTELLIGENCE EMOTIONNELLE CHEZ COACH CONFIANCE :

Je suis Coach de vie et aussi Conseillère agréée en fleurs de Bach.

Aujourd’hui, lorsqu’un client vient me consulter en exprimant une difficulté à gérer ses émotions, il s’agit souvent d’une personnes anxieuse, peu affirmée, ou très timide.

Dans un premier temps, j’écoute la personne, et évalue si son cas relève du coaching, du conseil en fleurs de Bach, ou de la thérapie (dans ce dernier cas je l’adresse à un psychologue).

Personnellement, je n’éprouve pas forcément le besoin de quantifier ce qu’on appelle le QE (Quotient Emotionnel).

Les personnes ayant des difficultés à gérer leurs émotions me décrivent les situations qui les mettent mal à l’aise, ou les empêchent d’avancer dans leur projet de vie. Après avoir identifié les émotions, nous explorons ensembles les points positifs et négatifs de chacune d’entre elles. Par exemple, une personne anxieuse, dominée par la peur, ne voit pas toujours en quoi cela peut être une force d’anticiper, de prévoir, grâce à la peur. Nous revisitons ensemble leurs représentations de ces émotions (« qu’est-ce qu’une personne colérique pour vous ? »). Nous mettons en place un barème pour mesurer le moment ou l’émotion (la colère par exemple) n’est plus socialement acceptable, et nous mettons en place une attitude de substitution. Répétons que cela n’est possible qu’avec les personnes ne nécessitant pas de suivi psychologique.

Une personne gérant ses émotions aura un bon rapport aux autres, et sera une personne affirmée (ni hérisson, ni paillasson). Elle sera capable d’empathie, d’écoute, et de communication. En effet, les personnes disposant d’une intelligence émotionnelle élevée peuvent s’adapter à toutes les situations. Elles se connaissent parfaitement, et sont intuitives. Elles sont d’humeur égale, et voient le verre à moitié plein. Elles sont sensibles à leur propre épanouissement. A contrario, les personnes disposant d’une intelligence émotionnelle faible ne savent pas utiliser à plein régime ces pépites que sont nos émotions. Elles ont un rapport à elles-mêmes, et aux autres, qui nécessite des améliorations. 

Le coaching des émotions dure au moins 6 séances, et se pratique en même temps que le coaching de l’affirmation de soi et de la confiance en soi.

 

Le pitch emploi ou comment se présenter en 3 minutes ?

Le pitch emploi ou comment se présenter en 3 minutes ?

PITCH EMPLOI

Préparez votre pitch emploi pour réussir vos entretiens !

Se rendre à un entretien, quel qu’il soit, sans savoir répondre à la question : “Présentez-vous en trois minutes svp ” est très risqué. En effet, La réponse à cette question ne s’improvise pas. 

Cette présentation de votre parcours et de votre personnalité est votre pitch emploi. Pitch est un terme anglais désignant la présentation d’une idée ou d’un projet pour les vendre. Car, en effet, il s’agit bien ici de vous vendre, de raconter votre histoire. 

Lors d’une séance de création de pitch emploi avec mes clients, je ne les préviens jamais de la question qui va leur être posée : “Présentez-vous en trois minutes s’il vous plait?”; ceci en vue de les préparer à un entretien de recrutement ou de sélection pour intégrer une école.

Voici le témoignage de Léo à ce sujet : “Merci beaucoup à vous Nathalie de m’avoir accompagné dans la préparation de mes entretiens ! Cela m’a été d’une grande aide et m’a réellement appris ce qui est attendu d’un candidat lors d’un entretien.”. Valérie, quant à elle, voulait changer d’orientation professionnelle sans avoir cherché d’emploi depuis 25 ans. Ses impressions après cette séance de coaching et conseil emploi reflètent ce que tous mes clients évoquent : la surprise, et le soulagement une fois que le pitch est créé. Il leur permet d’y voir plus clair, et de revisiter leur propre histoire. Avouons-le, cela n’est pas un exercice courant.

Lorsque la question est posée, s’ils l’entendent pour la première fois, s’en suit un silence de plusieurs minutes. Les mots ne sortent pas, ils sont perdus : par où commencer  ? Je leur propose alors de me raconter leur histoire, comme s’ils racontaient un conte à un enfant. Ils doivent me donner envie d’écouter la suite, créer un suspens, avoir un fil conducteur. Pas si simple me direz-vous ! C’est la technique du storytelling que je leur demande d’appliquer ici.

Quel est l’objectif à atteindre grâce à un pitch emploi réussi : rassurer votre interlocuteur.

Sur 2000 dirigeants, 33% disent savoir s’ils vont recruter le candidat dans les 90 premières secondes d’un entretien d’embauche. Par ailleurs, on sait que l’impact que vous produirez sur votre interlocuteur ne sera dû qu’à 7% à vos propos.

Le pitch ne doit donc pas seulement être percutant, mais vous devez aussi apprendre à le dire de manière intéressante, tel un acteur. C’est pourquoi nous faisons des simulations lors de la séance dédiée au pitch. Cette séance dure environ deux heures, et permet souvent de revoir le cv. Le pitch servira aussi de base à la présentation du client sur ses réseaux sociaux, et sera d’une grande aide pour rédiger ses lettres de motivation.

Parmi les outils d’une personne en recherche d’emploi, le pitch est incontournable, au même titre que le cv, la simulation d’entretiens de recrutement, la rédaction de lettres de motivation, la présence sur les réseaux sociaux. On l’a vu, ces outils sont également indispensables pour intégrer certaines écoles.

Le coaching et le conseil emploi constituent des appuis essentiels pour réussir à se constituer cette boîte à outils.
 

Comment positiver et rendre votre présent parfait ?

Comment positiver et rendre votre présent parfait ?

positiver

Comment positiver et rendre votre présent parfait ?

Ce matin j’ai reçu un message de la part d’une cliente rencontrée hier pour une première séance de coachingElle me disait ceci :« Bonjour Nathalie , Suite à notre entretien d’hier je ne maintiens pas le rendez-vous prochain. Et finalement, c’est vrai qu’il suffit de peu de choses ! J’ai plusieurs éléments pour être heureuse en effet ! Merci pour votre éclairage positif !»

Au cours de cette unique séance de coaching, cette personne a pu rendre son présent parfait et positiver. Avec mon aide, elle a listé tout ce qui allait très bien dans sa vie, au lieu de se focaliser sur les points sombres de son passé. Je lui souhaite d’être heureuse !

Alors, me direz-vous, comment rendre son présent parfait ?

Certaines personnes me consultent après un long travail sur elles-mêmes. Elles ont fait une analyse, parfois même plusieurs thérapies, mais elles en reviennent toujours au même point et n’avancent pas; elles ont l’impression de tourner en rond. Ces personnes ont parfois 50 ans ou plus, et n’ont pas encore pardonné à leur mère ou leur père, ou autre figure parentale, des actes ou paroles “impardonnables” (critiques incessantes à leur égard, manque d’affection..). Si elles ne décident pas de se tourner enfin vers le futur, les années qu’il leur reste à vivre vont continuer à être polluées.

Comme je suis une personne très pragmatique, et si l’état émotionnel de la personne le permet, je lui propose de faire le choix de rendre son présent parfait. Je lui demande de me raconter tout ce qui va bien AUJOURD’HUI ! Elle scanne alors ses domaines de vie : le travail, les amours, les enfants, les amis, les activités de détente, les animaux, la nature, les activités associatives.. Je m’efforce de zoomer et de mettre un gros coup de projecteur sur les choses qu’elle ne voudrait absolument pas perdre. Pour cela, elle fait une liste d’au moins 50 choses, personnes, ou événements positifs pour elle. Puis, je l’invite à faire un travelling arrière sur ce qui lui pose encore problème. On ne nie pas ce qu’elle a vécu, mais je lui propose une autre lecture des événements. Je l’accompagne pour découvrir les “cadeaux cachés”, et lui donne des outils pour prendre du recul.
Oui, je sais, certains me diront que “c’est un peu trop facile tout ça; un traumatisme ne s’efface pas juste parce qu’on le décide. Je suis d’accord. Je parle ici de personnes ayant travaillé avec des psys, des coachs… depuis 10, 20, 30 ou 40 ans, et qui n’arrivent pas à voir ce qui est beau dans leur vie actuelle. Je leur propose juste de prendre la décision de changer d’angle de vue.

 

Les 3 piliers sur lesquels je m’appuie pour oser cette proposition de “choisir de rendre le présent parfait” sont les fleurs de Bach, la résilience et la pensée positive.

Les fleurs de Bach permettent de régler des états émotionnels passés qui n’ont pas été traités et se sont cristallisés : Star of Betlhhem, Walnut, Honey Suckle sont, par exemple, trois fleurs qui permettent de régler des traumastismes passés et de revenir au présent.

Le processus de résilience (cf “Un merveilleux malheur” de Boris Cyrulnik) repose sur la capacité qu’ont certaines personnes à triompher des différents traumatismes qu’ils ont subis : deuil précoce, abandon, maltraitance, violence sexuelle, guerre, etc…Selon Boris Cyrulnik,  le malheur n’est pas une destinée, rien n’est irrémédiablement inscrit, on peut toujours s’en sortir . Je vous propose de visionner cette vidéo pour mieux comprendre la pensée de Boris Cyrulnik.

La pensée positive quant à elle, repose sur deux postulats de base (cf site de référence sur ce thème, celui de Luc Teyssier d’Orfeuil ) :  “Toute pensée que nous avons en tête devient réalité (dans la limite du raisonnable). Contrairement à ce que l’on enseigne, ce n’est pas notre volonté qui nous fait agir, mais notre imagination (être inconscient). S’il nous arrive souvent de faire ce que nous voulons, c’est que nous pensons en même temps que nous le pouvons.” En appui, je vous rappelle la célèbre citation de Mark TWAIN : “Ils ne savaient pas que c’était impossible alors ils l’ont fait”.

Alors, si l’envie vous prend de prendre du recul et de reprendre confiance en votre présent et votre avenir, n’hésitez pas à me contacter.